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Un goût de vie ordinaire derrière les barreaux (3)

( le Quotidien du Peuple en ligne )

20.03.2013 à 09h08

Une détenue profite d’un moment de détente avec un agent pénitentiaire dans la prison pour femmes de Beijing, le 5 mars. (Photo Cui Meng / China Daily)

Une aide à portée de main

Mais la technologie n'est pas toujours la réponse. Parfois, les détenues ont encore besoin de contacts humains. Un soutien psychologique est donc offert dans une salle connue sous le nom de « Cocoon Bar ».

He Miao, 33 ans, qui purge une peine de prison à perpétuité pour assassinat, dit que cet espace, où l’on voit des photos panoramiques sur les murs, des photos de fleurs sur le sol et pas de barreaux de fer sur la porte, est un « havre de paix » quand elle se sent troublée.

Wang Ying, 33 ans, dit également qu'elle se rend souvent au « bar » quand elle se sent morose. Elle a un fils de 7 ans, mais son mari a divorcé quand elle a été envoyée en prison.

Étouffant ses larmes, elle dit : « Mon ex-mari a rompu avec moi quand je suis arrivée ici en 2008, nous nous connaissions depuis l'enfance ».

« Je me doutais qu'il pouvait le faire, mais jamais je n'aurais pensé que ce serait si rapide », dit-elle dans un soupir, alors qu’elle ajuste ses lunettes roses pour cacher ses larmes.

Wang purge actuellement une peine de 15 ans pour fraude et dit que sa plus grande douleur a été de décider si elle devait dire ou non à son fils où elle se trouve vraiment. « La peine est longue, non seulement pour moi, mais aussi pour mon enfant ».

Elle cherche consolation auprès des agents pénitentiaires au Cocoon Bar. « J'aime bien juste m’asseoir là, en écoutant de la musique légère et en parlant avec les agents », dit-elle.

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