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Le président Obama défend sa réforme de santé au risque d'une paralysie du gouvernement

( Xinhua )

27.09.2013 à 09h00

Le président américain Barack Obama a défendu jeudi sa réforme de santé passée il y a trois ans, alors que ses rivaux républicains s'efforçaient de retirer le financement et de retarder la mise en oeuvre de la loi scrutée à la loupe même au risque d'une paralysie du gouvernement.

"Pendant longtemps, l'Amérique était la seule économie avancée au monde où les soins de santé n'étaient pas un droit, mais un privilège. Nous dépensions plus, nous obtenions moins. Nous avons laissé des dizaines de millions d'Américains sans la sécurité d'une assurance santé", a déclaré M. Obama lors d'un discours prononcé dans l'Etat du Maryland.

Dans le pays le plus riche de la planète, personne ne devrait être ruiné juste parce qu'il est tombé malade. Malgré tous les obstacles, la loi sur les soins accessibles, connue plus communément sous le nom d'Obamacare, a été passée par les deux chambres du Congrès et promulguée en tant que loi en 2010. La Cour suprême l'a jugée consitutionnelle l'année dernière, a souligné le président.

"D'ici cinq jours -- au 1e octobre, des millions d'Américains n'ayant pas d'assurance santé car ils en ont été exclus par les prix du marché ou parce qu'ils s'en sont vu refuser l'accès à cause d'une condition préexistante, seront enfin capables de se procurer une assurance santé accessible et de qualité," a-t-il fait remarquer.

A commencer du 1e octobre, les Américains sans assurance de soins de santé pourront signer pour une couverture par le biais de marchés en ligne du nom de "bourses", établies par les gouvernements des différents Etats du pays dans le cadre de l'Obamacare. Les Américains auront une période de six mois pour souscrire aux bourses sans quoi ils auront une amende pour ne pas avoir acheté d'assurance.

"Plus nous nous approchons de cette date, plus les gens opposés à cette loi deviennent irresponsables", a accusé M. Obama, faisant référence à certains législalteurs républicains.

"Certains ont menacé d'une paralysie du gouvernement si ils ne pouvaient pas stopper cette loi. D'autres ont même menacé d'un défaut de paiement en refusant de payer les factures des Etats-Unis si ils ne parvenaient pas à repousser la loi", a-t-il dit.

Les plus hauts dirigeants républicains de la Chambre des Représentants ont fait savoir jeudi qu'ils lieraient la hausse des capacités d'emprunts du gouvernement à une longue liste de priorités du Parti dont un report d'un an de l'Obamacare.

La Chambre à majorité républicaine a fait passer vendredi un projet de loi de dépenses ponctuel, défendu par les conservateurs, pour financer le gouvernement jusqu'au 15 décembre tout en interdisant le financement de la mise en oeuvre d'Obamacare. Sans accord sur un projet de loi de dépenses avant le 1e octobre, premier jour de l'année fiscale 2014, le gouvernement fédéral des Etats-Unis subira une paralysie partielle.

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