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Comment la coopération universitaire avec la Chine stimule le développement des pays africains
L'Association chinoise de l'enseignement supérieur a annoncé que 50 universités chinoises ont été sélectionnées dans le cadre du Plan de coopération sino-africaine des 100 universités et que 252 ont été acceptées dans le mécanisme d'échange de l'Alliance sino-africaine des universités (CAUA), une autre initiative majeure de la Chine pour soutenir le développement de l'éducation en Afrique.
La Chine soutient fermement les besoins de développement de l'Afrique. Dans le cadre de la CAUA, de nombreuses universités et institutions privées chinoises ont établi une coopération et des échanges interuniversitaires avec diverses universités africaines.
Pour la partie africaine, cette coopération devrait permettre de stimuler le renforcement des capacités et aider à mieux répondre à ses besoins de développement urgents. Pour la Chine, elle facilitera efficacement l'interaction entre les universités chinoises et leurs partenaires étrangers.
Conformément aux recommandations du Plan de coopération sino-africaine des 100 universités, la Chine renforcera encore sa coopération étroite avec des organisations continentales, régionales ou professionnelles telles que l'Union africaine, renforcera la coopération multilatérale avec des organisations internationales telles que l'UNESCO, la Banque mondiale et d'autres pays, et renforcera la collaboration interactive avec les industries et secteurs clés de l'Initiative « la Ceinture et la Route ».
La collaboration universitaire devrait également favoriser l'intensification des ressources internes et la maximisation des avantages externes, notamment en reliant les talents, les connaissances et la technologie entre les universités et l'industrie, en créant des effets synergiques sur la chaîne de valeur et en facilitant la circulation efficace des connaissances et de la technologie.
(Photo / China Daily)
Parallèlement, un groupe d'universités polytechniques et commerciales chinoises se concentre actuellement sur la coopération pragmatique avec les universités africaines dans des domaines tels que le flux de connaissances, les transferts de technologies, la formation de professionnels et le développement d'industries dominantes telles que l'économie numérique. Dans le même temps, un groupe d'universités spécialisées en sciences humaines et sociales travaillera à approfondir l'échange d'idées de développement et d'expériences de gouvernance sociale en Chine et en Afrique.
