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Des experts partagent à Genève leurs points de vue sur la protection des droits des minorités en Chine
Des experts et des universitaires chinois et étrangers ont partagé les réalisations et les expériences de la Chine en matière de protection des droits des minorités, en se concentrant sur les pratiques dans la région autonome du Xizang (Tibet) et la région autonome ouïgoure du Xinjiang, lors d'un séminaire qui s'est tenu lundi à Genève, en Suisse.
Le séminaire, avec pour thème "La protection des droits de l'Homme pour les minorités : les progrès dans les régions autonomes ethniques de Chine", a été organisé par la Société chinoise d'études des droits de l'Homme dans le cadre de la 55e session du Conseil des droits de l'Homme des Nations Unies.
Liang Junyan, chercheuse à l'Institut d'études historiques du Centre chinois de recherche en tibétologie de Chine, a déclaré que le Tibet faisait partie intégrante de la Chine depuis l'antiquité et que la soi-disant "indépendance tibétaine" était le résultat d'une agression impérialiste contre la Chine à l'époque moderne.
Jia Chunyang, directeur exécutif du Centre d'études sur la sécurité économique et sociale de l'Institut chinois des relations internationales contemporaines, a expliqué que les pratiques éducatives au Xizang respectaient les lois chinoises et les dispositions pertinentes des conventions internationales, telles que le Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels des Nations Unies et la Convention relative aux droits de l'enfant. Ces pratiques s'alignent sur les réalités locales, respectent les besoins de la population et protègent et promeuvent la langue et la culture tibétaines.
Le tibétologue belge André Lacroix a fait part de ses observations et de ses expériences au Xizang, affirmant que le développement du Xizang l'avait profondément impressionné. Il a appelé les sociétés occidentales à mettre de côté leurs propres préjugés et à observer et évaluer de façon objective les réalisations du gouvernement chinois dans la gestion du Xizang.
Qiao Basheng, directeur du Centre d'études sur la communication internationale et la sécurité culturelle de l'Université des sciences politiques et du droit du Nord-Ouest, a assuré que le Xinjiang connaissait actuellement la meilleure période de développement de son histoire, puisqu'il jouit d'une stabilité sociale durable et que les habitants de tous les groupes ethniques vivent dans l'harmonie, le contentement et la prospérité. Les populations de tous les groupes ethniques du Xinjiang, tout comme celles du reste du pays, sont entrées dans une société modérément prospère, bénéficiant pleinement de garanties tangibles en matière de droits de l'Homme.
Tuersun Aibai, professeur associé à l'Ecole de journalisme et de communication de l'Université du Xinjiang, a indiqué que certaines forces occidentales anti-Chine utilisaient le blâme du "travail forcé" comme prétexte pour créer un "chômage forcé" et une "pauvreté forcée" au Xinjiang, ce qui viole les droits de l'Homme des populations de tous les groupes ethniques du Xinjiang.
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