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Les femmes du Xinjiang, moteurs du développement après sept décennies de progrès
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| Des touristes visitent le Grand Bazar international du Xinjiang à Urumqi, capitale de la région autonome ouïgoure du Xinjiang (nord-ouest de la Chine), le 12 septembre 2024. (Liu Xin/China News Service) |
Le Sommet mondial des femmes s'est ouvert le 13 octobre à Beijing, mettant en lumière les efforts mondiaux en faveur de l'égalité des sexes. Cet engagement se reflète dans l'évolution du rôle des femmes dans la région chinoise du Xinjiang, où sept décennies de progrès ont alimenté le développement régional et national.
Depuis la fondation de la région autonome ouïgoure du Xinjiang (nord-ouest de la Chine) en 1955, les femmes de tous les groupes ethniques du Xinjiang se sont consacrées à la promotion d'un développement économique et social de qualité dans la région.
Les fédérations de femmes à tous les niveaux du Xinjiang œuvrent dans de nombreux domaines, notamment la lutte contre la pauvreté, la revitalisation rurale et l'innovation scientifique, pour aider les femmes des zones urbaines et rurales à améliorer leurs compétences et à accroître leurs revenus.
Selon les données officielles, depuis la fondation de la région autonome, les fédérations de femmes ont activement obtenu des financements pour soutenir l'emploi et l'entrepreneuriat, dispensant des formations professionnelles à près de deux millions de participantes et appuyant la création de plus de 400 entreprises dirigées par des femmes.
Elles ont aussi noué des partenariats dynamiques avec de grandes banques pour lancer une série de produits financiers soutenant l'entrepreneuriat féminin, avec des prêts cumulés déboursés d'un montant de 17,86 milliards de yuans (environ 2,51 milliards de dollars).
Dans le même temps, le Xinjiang a lancé des organisations telles que l'Association des femmes entrepreneures et l'Association des femmes des sciences et technologies. Au fil des ans, des initiatives telles que la formation professionnelle, les concours d'innovation, les salons de l'emploi et les concours de compétences ont contribué à libérer le potentiel de développement des femmes, faisant d'elles des contributrices actives au progrès économique et social, tout en étant des bénéficiaires.
