Dernière mise à jour à 08h48 le 30/03
Lundi marque le 50e anniversaire du rétablissement du siège légitime de la République populaire de Chine aux Nations unies (ONU).
Le président Xi Jinping a souligné à plusieurs reprises l'importance de maintenir le système international centré sur l'ONU, et a préconisé la promotion d'une gouvernance mondiale basée sur la consultation et la coopération, et qui est propice pour tous, ainsi que de veiller à ce que les affaires mondiales soient gérées par tous les peuples par le biais de la consultation.
Voici quelques-uns des points saillants de ses déclarations à cet égard :
-- Nous devrions suivre le principe de la réalisation d'une croissance partagée par la discussion et la collaboration en nous engageant dans la gouvernance mondiale. Nous devons réformer et améliorer le système de gouvernance mondiale, ainsi que travailler avec tous les pays pour promouvoir la construction d'une communauté avec un avenir partagé pour l'humanité.
-- La Chine restera activement engagée dans la réforme et le développement du système de gouvernance mondiale. Elle défendra fermement le système international centré sur l'ONU, l'ordre international fondé sur le droit international et le rôle central de l'ONU dans les affaires internationales.
-- La Chine est toujours un bâtisseur de la paix mondiale, un contributeur au développement mondial, un défenseur de l'ordre international et un fournisseur des biens publics.
-- La Chine continuera de soutenir les autres pays en développement et de défendre fermement une plus grande représentation de ces pays, en particulier les pays africains, dans le système de gouvernance internationale.
-- La gouvernance internationale devrait être fondée sur les règles et le consensus atteint entre tous les pays, et non pas sur l'ordre d'un seul ou de quelques pays.
-- Pour les grands dossiers mondiaux tels que le changement climatique, une approche orientée vers l'utilitarisme, qui consiste à prendre plus et à donner moins, n'est dans l'intérêt de personne.
-- Aucun pays n'a le droit de dominer les affaires mondiales, de contrôler le destin des autres, ou de garder uniquement pour lui les avantages en matière de développement.
-- La démocratie dans les relations internationales est devenue une tendance irrésistible de notre époque.
-- Ce que nous devons faire, c'est de remplacer les conflits par le dialogue, la coercition par la consultation, le jeu à somme nul par le principe du gagnant-gagnant, ainsi qu'élargir les intérêts convergents de tous et construire une grande famille mondiale d'harmonie et de coopération.