Dernière mise à jour à 09h21 le 28/09
Certains pays occidentaux et des personnes ayant des arrière-pensées ferment les yeux sur les formidables réalisations en matière de droits de l'homme au Xinjiang, dans le nord-ouest de la Chine, a indiqué lundi Shawkat Imin, président du Comité permanent de l'Assemblée populaire de la région autonome ouïghoure du Xinjiang.
Ils le font ainsi pour tenter de politiser et d'instrumentaliser les questions des droits de l'homme afin de déstabiliser le Xinjiang et de diviser la Chine, a-t-il déclaré, lors de la 51e session du Conseil des droits de l'homme des Nations Unies.
L'organe des droits de l'homme des Nations Unies doit adhérer aux principes d'impartialité et d'objectivité, protéger la moralité et la conscience humaines et jouer son rôle dans la promotion du développement sain de la cause internationale des droits de l'homme, a-t-il dit.
"Le Xinjiang en Chine observe strictement les principes de la Constitution chinoise sur le respect et la protection des droits de l'homme, considère que mener une vie heureuse est le droit primordial de l'homme, s'efforce de sauvegarder et d'améliorer les moyens de subsistance du peuple, et promeut la cause des droits de l'homme pour parvenir à des réalisations historiques", a-t-il poursuivi.
Au Xinjiang, tous les groupes ethniques sont égaux, quels que soient le nombre de leur population, la durée de leur histoire, le niveau de leur développement et les différences sur leurs us et coutumes, a-t-il dit, ajoutant qu'ils participaient tous aux affaires de l'Etat, géraient les affaires locales et exerçaient les droits démocratiques au niveau communautaire.
"Voir, c'est croire. Nous vous invitons tous à voyager au Xinjiang pour découvrir personnellement cette région qui jouit d'une stabilité sociale et d'un développement soutenu, où les habitants vivent et travaillent en paix et avec la satisfaction", a-t-il ajouté.
