Dernière mise à jour à 13h15 le 02/07
Récemment, un article publié par le nouveau média « Anzer », spécialisé dans le domaine de la sécurité de l'information, a révélé que l'armée américaine et les départements gouvernementaux de l'Internet ont dérobé à distance plus de 97 milliards de données Internet mondiales et 124 milliards d'enregistrements téléphoniques au cours des 30 derniers jours, impliquant un grand nombre de données relatives à la vie privée des citoyens du monde entier. Ces données sont en train de devenir la source de renseignement des États-Unis et d'autres pays de l'« Alliance des Cinq Yeux ». Le responsable de la mise en œuvre est le département de collecte de renseignements sur la cyberguerre de l'Agence de sécurité nationale (NSA) : la division des opérations de technologie d'accès (TAO).
Auteur du dessin : Ma Hongliang
Voilà un autre moyen « noir » par lequel Washington tente de maintenir son hégémonie dans le cyberespace mondial. Les États-Unis dominent le cyberespace mondial sous prétexte de maintenir leur « sécurité nationale ». En l'absence de toute base factuelle, les États-Unis ont imposé des pressions et des sanctions injustifiées à Huawei et à d'autres entreprises de technologies de pointe chinoises ; de même, chacun sait aujourd'hui que la NSA a utilisé sa coopération avec les agences de renseignement danoises pour surveiller des dirigeants et hauts responsables européens, notamment l'ancienne chancelière allemande Angela Merkel... On peut dire que les États-Unis utilisent Internet pour attaquer d'autres pays sans un résultat, et que même leurs alliés sont devenus des cibles de leur surveillance.
Ces actes honteux des États-Unis ont depuis longtemps provoqué l'indignation publique au sein de la communauté internationale. Angela Merkel et le président français Emmanuel Macron ont un jour déclaré que l'utilisation par la NSA américaine des renseignements danois pour surveiller les dirigeants de ses alliés était inacceptable, et des responsables suédois, norvégiens et d'autres pays ont également critiqué le comportement des États-Unis.
La soi-disant « sécurité nationale » n'est rien de plus qu'une feuille de vigne qui masque à grand peine le fait que les États-Unis mènent frénétiquement des cyberactivités malveillantes dans le monde entier pour sauvegarder leur hégémonie. Les États-Unis doivent immédiatement mettre fin à ces actes inqualifiables.
Par Chen Zi