Un résident de Beijing du nom de Xiang Nanfu a été arrêté pour avoir publié, contre une rémunération conséquente, de fausses informations sur un site Internet étranger, ternissant sérieusement l'image du pays, a annoncé mardi la police de Beijing.
Xiang, âgé de 62 ans, a publié plusieurs fausses informations sur le site Internet "Boxun" depuis 2009. Il utilisait le nom d'utilisateur "Feixiang" ("envol" en chinois).
Xiang a ainsi écrit "Le gouvernement chinois a prélevé des organes sur des êtres humains vivants et enterré des gens vivants, occasionnant des manifestations massives devant des organisations des Nations unies en Chine", "Plus de 1.000 agents de police ont exproprié des terres avec violence, battant à mort une femme enceinte", ou encore "Un pétitionnaire a été frappé à mort et son corps abandonné dans la rue", a précisé le Bureau municipal de la sécurité publique.
Xiang a été payé en dollars par un homme du nom de Wei, qui opérait le site Internet, pour diffuser ces fausses informations, a révélé la police.
Ces fausses informations ont induit le public et les internautes en erreur, ternissant l'image du pays, a noté la police.
Xiang a été placé en garde à vue le 3 mai. Il a avoué ses crimes et s'est repenti, selon la police.
L'enquête concernant cette affaire se poursuit.
Xiang, âgé de 62 ans, a publié plusieurs fausses informations sur le site Internet "Boxun" depuis 2009. Il utilisait le nom d'utilisateur "Feixiang" ("envol" en chinois).
Xiang a ainsi écrit "Le gouvernement chinois a prélevé des organes sur des êtres humains vivants et enterré des gens vivants, occasionnant des manifestations massives devant des organisations des Nations unies en Chine", "Plus de 1.000 agents de police ont exproprié des terres avec violence, battant à mort une femme enceinte", ou encore "Un pétitionnaire a été frappé à mort et son corps abandonné dans la rue", a précisé le Bureau municipal de la sécurité publique.
Xiang a été payé en dollars par un homme du nom de Wei, qui opérait le site Internet, pour diffuser ces fausses informations, a révélé la police.
Ces fausses informations ont induit le public et les internautes en erreur, ternissant l'image du pays, a noté la police.
Xiang a été placé en garde à vue le 3 mai. Il a avoué ses crimes et s'est repenti, selon la police.
L'enquête concernant cette affaire se poursuit.