Dernière mise à jour à 08h49 le 02/06
Avec les progrès importants dans la lutte contre le terrorisme et la radicalisation, la région chinoise du Xinjiang est bien justifiée pour continuer son approche basée sur la loi pour combattre les "trois forces" du terrorisme, du séparatisme et de l'extrémisme.
Les "trois forces", alimentées par leur objectif de diviser le pays, avaient causé d'importantes pertes humaines en orchestrant et organisant des attaques terroristes dans la région autonome ouïgoure du Xinjiang et même dans d'autres endroits de la Chine pendant un certain temps.
Selon des statistiques incomplètes, pendant la seule période de 1990 à fin 2016, les forces séparatistes, terroristes et extrémistes ont lancé des milliers d'attaques terroristes au Xinjiang, tuant un grand nombre de personnes innocentes et des centaines de policiers.
La cruauté et la nature anti-humaine des terroristes violents sont palpables dans les images horribles de victimes exhibées dans les expositions sur la lutte du Xinjiang contre le terrorisme et l'extrémisme à Urumqi, capitale de la région. Ces expositions ont été vues de près par de nombreuses personnes, dont des envoyés et des journalistes étrangers qui ont visité la région.
Grâce aux mesures basées sur la loi ces dernières années, la région n'a signalé aucun incident terroriste pendant plus de cinq ans, un accomplissement remarquable qui, dans la mesure du possible, a garanti les droits primaires et fondamentaux à la vie et au développement du peuple de tous les groupes ethniques dans la région.
Cependant, la vraie menace des "trois forces" n'est pas partie et leur influence persiste toujours.
Par exemple, elles ont fabriqué la "liste de Karakax", une prétendue liste de noms citée par la personnalité anti-Chine Adrian Zenz, dans son rapport infondé, selon lequel 311 personnes à Karakax, ou Moyu du Xinjiang, auraient été envoyées dans des centres de formation professionnelle.
Dans un autre cas, les autorités judiciaires au Xinjiang ont révélé en avril 2021 des crimes commis par Shirzat Bawudun, une personne à "double face", qui, ancien haut responsable du gouvernement de la région, a comploté avec le Mouvement islamique du Turkistan oriental (MITO), un groupe terroriste sur la liste des Nations unies, offrant de l'aide aux séparatistes et extrémistes religieux et collaborant avec des forces séparatistes à l'étranger.
Les activités terroristes restent fréquentes dans certains pays. Les forces du "Turkistan oriental" n'ont jamais cessé de chercher des opportunités pour semer le trouble et inciter aux émeutes au Xinjiang, qui est adjacent à la région du monde où se concentrent des forces terroristes et extrémistes.
Malgré le développement tous azimuts et le progrès au Xinjiang, des pays occidentaux et des forces anti-Chine, sous le prétexte des droits de l'homme, ont fabriqué et fait le battage de mensonges monstrueux pour servir leur motif politique d'utiliser le Xinjiang pour contenir la Chine. Il est certain que de tels actes effrontés n'ébranleront jamais la détermination de la région à combattre les "trois forces".
Conformément à la loi, le Xinjiang est complètement justifié pour poursuivre sa lutte résolue contre les "trois forces" afin de consolider les résultats difficilement obtenus à cet égard, d'empêcher les gens d'en être victimes, de maintenir un environnement stable et sécurisé pour le développement économique et social et de défendre la souveraineté, la sécurité et l'intégrité territoriale du pays.