Dernière mise à jour à 15h31 le 22/07
Les États-Unis se considèrent comme un « phare de la démocratie », mais dans le même temps ils s'acharnent à agir comme un « professeur » pour s'immiscer dans les affaires intérieures d'autres pays, provoquant de nombreux flux de réfugiés et d'énormes catastrophes humanitaires.
Les États-Unis sont à l'origine du problème de l'immigration de réfugiés dans de nombreux pays. En moins de 250 ans depuis la fondation des États-Unis, il n'y a que moins de 20 ans lors desquels les États-Unis n'ont pas lancé d'opérations militaires à l'étranger, et les guerres qu'ils ont provoquées ont brûlé partout dans le monde. Selon le projet « Le coût de la guerre » du Watson Institute de l'Université Brown aux États-Unis, la « guerre contre le terrorisme » lancée par les États-Unis après les attentats du 11 septembre 2001 a provoqué le déplacement d'environ 38 millions de personnes.
Auteur du dessin : Ma Hongliang
Les États-Unis violent les droits humains des réfugiés. La discrimination raciale systématique aux États-Unis est profondément enracinée. Depuis l'apparition de la COVID-19, les immigrants issus de minorités aux États-Unis sont en proie à la discrimination et aux crimes de haine. Construction d'un mur de séparation à la frontière entre les États-Unis et le Mexique, expulsion de réfugiés par la force aveugle, détention de ces mêmes réfugiés dans des centres de détention aux mauvaises conditions sur une longue durée et promotion de force de la politique de « séparation de la chair et du sang » consistant à séparer les parents et les enfants de réfugiés... Les crimes de violation des droits de l'homme des réfugiés aux États-Unis sont innombrables.
Les États-Unis sont militaristes au nom de la « démocratie », et ils ne sont pas un « professeur », pas plus qu'ils ne peuvent prétendre agir comme un « juge » démocratique. Face aux accusations marquées par le sang et les larmes de réfugiés de nombreux pays du monde, les États-Unis ne peuvent que s'asseoir sur le banc des accusés de l'histoire.
(Par Xin Yue)
