Dernière mise à jour à 16h15 le 17/07
Récemment, aux États-Unis et en Occident, certains politiciens ont fréquemment parlé du nouveau terme de « dérisquage ». En fait, ce soi-disant « dérisquage » n'est qu'une sorte de « vêtement neuf » mis pour se livrer à du « découplage », une astuce similaire à celle consistant à remplir des bouteilles neuves avec du vieux vin ou à changer de décoction tout en donnant le même médicament.
(Auteur du dessin : Tan Xiguang)
L'essence du soi-disant « dérisquage » est toujours de freiner le développement de la Chine et de rendre plus précis « le découplage et la rupture de chaîne ». Un article du magazine Foreign Affairs a souligné que la promotion par les États-Unis du concept du « dérisquage » freine en fait le développement de la Chine dans des domaines importants tels que les puces et les matières premières clés, tout en limitant l'influence du marché chinois à l'échelle mondiale.
Mais ce soi-disant « dérisquage » auquel se livrent les États-Unis non seulement n'« élimine pas les risques », mais perturbe également la stabilité de la chaîne d'approvisionnement mondiale, perturbe les échanges et l'ordre économiques internationaux et a d'énormes impacts sur la mondialisation économique. En fait, le plus grand « risque », ce sont les États-Unis, qui ne ménagent aucun effort pour maintenir leur propre hégémonie.
Par Chen Zi