Dernière mise à jour à 16h36 le 03/04
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Les autorités chinoises ont exhorté les étrangers en Chine à respecter les lois et les règlements chinois de prévention et du contrôle du COVID-19, car plusieurs cas impliquant des étrangers ont récemment soulevé des préoccupations.
La porte-parole du ministère des affaires étrangères, Hua Chunying, a déclaré que les étrangers qui refusent de respecter les mesures de prévention de l'épidémie, perturbent les ordres de contrôle de l'épidémie et mettent en danger la santé et la sécurité publiques en Chine seront tenus légalement responsables.
S'exprimant lors d'une conférence de presse à Beijing le 2 avril, Mme Hua a déclaré que toutes les personnes vivant en Chine, citoyens chinois et étrangers, sont traités de manière égale en termes des mesures de lutte contre l'épidémie et des réglementations.
« La réglementation vise à protéger la vie et la santé de chaque individu en Chine, ainsi qu'à maintenir la sécurité publique », a-t-elle déclaré.
Les lois et les règlements, y compris la loi sur la prévention et le contrôle des maladies infectieuses, doivent être strictement respectés par tous les étrangers en Chine, a-t-elle ajouté.
La police de Guangzhou, la capitale de la province du Guangdong (sud de la Chine), enquête sur une affaire impliquant une patiente étrangère atteinte du COVID-19 qui a molesté une infirmière dans un hôpital désigné pour traiter de nouveaux patients atteints de coronavirus.
Selon un communiqué publié le 2 avril par le bureau de la sécurité publique de la ville de Guangzhou, la police est immédiatement arrivée sur les lieux et a aidé mercredi matin à contrôler la femme, Okonkwonwoye Chika Patrick, un citoyenne nigériane.
Agée de 47 ans, la femme a poussé l'infirmière au sol dans la salle d'isolement de l'hôpital lorsqu'elle est arrivée pour aider à prélever son échantillon de sang, a précisé le communiqué. Elle a alors battu et mordu le visage de l'infirmière.
Les examens médico-légaux ont montré que le visage, le cou et les reins de l'infirmière étaient blessés, a ajouté le communiqué.
L'agresseur est entrée à Guangzhou depuis l'étranger le 20 mars. Elle a été transférée à l'hôpital populaire n ° 8 de Guangzhou après que son test d'acide nucléique soit revenu positif le 23 mars.
À Beijing, les autorités ont annoncé qu'elles avaient infligé une sanction administrative à un Tanzanien et lui ont ordonné de quitter le pays pour avoir refusé d'obéir aux lois et règlements sur la prévention et le contrôle du COVID-19.
À Qingdao, dans la province du Shandong (est de la Chine), trois étrangers qui ont sauté dans la file d'attente et se sont disputés avec les locaux tout en ayant des tests d'acide nucléique dans un centre de prévention et de contrôle des maladies se sont excusés.
À Xi'an, capitale de la province du Shaanxi, un étranger qui a été frappé d'une sanction administrative et a été contraint de quitter la Chine la semaine dernière a quitté le continent le 31 mars pour rentrer chez lui.
Il n'avait pas porté de masque, avait frappé le personnel médical local et avait lancé son téléphone portable sur un passant, a indiqué la police locale.
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