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Les hôpitaux privés chinois face à de nouveaux défis (2)

( le Quotidien du Peuple en ligne )

03.12.2013 à 14h55

Mao Tongfa, président de l'Hôpital Renshen, un hôpital privé dans la banlieue de Beijing, a déclaré que son hôpital voit moins de 30 patients par jour, en partie parce que les clients ne peuvent pas obtenir le remboursement des frais de traitement.

«Les mesures politiques sont bonnes, mais il faudra beaucoup de temps pour les mettre en pratique», a fait observer le responsable. «De nombreux clients se sont plaints de ne pouvoir être remboursés quand ils sont soignés dans cet hôpital».

Mais ce n'est que l'une des nombreuses difficultés et le vivier des talents du secteur médical dans les hôpitaux privés est un autre problème.

Pour le gouvernement, les meilleurs médecins devraient être autorisés à travailler dans plus d'un endroit, comme dans les hôpitaux privés, ou même dans les centres de santé communautaires, en plus de leur travail dans le service public hospitalier. Mais il y a des obstacles.

Par exemple, les médecins chinois dans le système financé par le gouvernement sont considérés comme des travailleurs à temps plein. Avec ce statut, ils sont rarement autorisés à un double emploi, a déclaré Xie Qilin, secrétaire général adjoint de l'Association des médecins chinois, un organisme à but non lucratif.

En ajoutant qu'ils étaient en mesure de négocier un contrat portant sur plusieurs détails comme la durée longueur de la semaine de travail, la rémunération ou autres qui pourraient rendre plus facile le fait d'accepter de travailler dans plusieurs endroits, mais la plupart des employeurs restent réticents à cette démarche.

Peu de docteurs dans les hôpitaux publics exercent dans un autre établissement, parce que là où ils se trouvent, ils ont déjà les meilleurs avantages et possibilités de carrière, a noté Liu Guo'en, un professeur d'économie à l'Université de Beijing.

«Les médecins dans les hôpitaux publics bénéficient souvent de pensions plus élevés que leurs homologues dans les hôpitaux privés. Ces hôpitaux financés contrôlant la plupart des ressources académiques et de recherche», a-t-il dit.

Selon Xie Qilin, très peu de médecins enregistrés à Beijing ont demandé à travailler à temps partiel. Ce qui fait que, les gens fourmillent dans les hôpitaux où un traitement de qualité est proposé au prix le plus bas après remboursement de l'assurance.

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