La première dame du Ghana Lordina Mahama a appelé samedi à des actions immédiates pour mettre fin à toutes les formes de discrimination économique, culturelle et sociale contre les femmes.
Dans une déclaration faite à l'occasion de la Journée internationale de la femme, Mme Lordina a dit que la culture géné ralisée de la discrimination et de la violence fondée sur le sexe dans les sociétés continue d'affecter sérieusement les droits fondamentaux des femmes : droits à la vie, à la santé, à la sé curité, à la mobilité, à la participation à la vie politique et à l'emploi.
Selon la première dame du Ghana, sans un changement fondamental dans les attitudes des individus et la philosophie des instituations sociales, les sociétés ne peuvent pas attenddre une pleine égalité entre femmes et hommes.
Elle a souligné que l'égalité entre les femmes et les hommes doit être intégrée dans les domaines clés, dont la santé, l'é ducation, la participation à la vie politique et le développement économique.
"Nous devons également aborder directement la question de la violence contre les femmes et les filles, qui reste l'un des plus grands obstacles à la réalisation de l'égalité des sexes", a souligné Mme Lordina.