Dernière mise à jour à 08h52 le 29/06
« Mes deux années d'études et de vie en Chine ont été une période parfaite dans ma vie », a raconté Moussa Paul Kolongo, étudiant malien qui fait des études en master à l'Institut de diplomatie, quand il se rappelle les deux ans passés de la vie en Chine. « Je n'oublierai jamais mes professeurs et mes camarades de classe. Ils m'ont aidé chaleureusement et m'ont traité comme un compatriote. J'ai vraiment pu sentir leur gentillesse ».
Moussa Paul Kolongo(Photo/ le Quotidien du Peuple en ligne)
Témoin de la lutte contre l'épidémie en Chine
Lors de ses études en master à Beijing, Moussa a été témoin du grand mouvement de la lutte contre l'épidémie. Il fait sans cesse l'éloge du succès de la Chine : « Le gouvernement chinois a toujours accordé la priorité au peuple, et c'est pourquoi la Chine a pu contrôler l'épidémie en si peu de temps et servi de modèle pour le monde ». Malgré des origines culturelles différentes, il n'a pas hésité à éprouver son admiration pour l'esprit national chinois incarné dans la lutte contre l'épidémie en Chine : « Dans ce monde, il existe deux mots que je ne peux comprendre qu'en Chine, à savoir la solidarité et le patriotisme ».
La lutte contre l'épidémie en Chine n'aurait pas pu être gagnée sans la forte direction du PCC, et « la priorité accordée au peuple » est le mot d'ordre lancé par le PCC pour lutter contre l'épidémie. Moussa en a acquis une compréhension approfondie pendant les deux dernières années : « L'année 2021 marque le centenaire de la fondation du Parti communiste chinois. Je peux témoigner que le PCC est un parti qui cherche toujours le bonheur pour le peuple et veille toujours sur les intérêts du peuple ». Il pense que la Chine reste le pays le plus sûr du monde, et que cela n'est possible que grâce aux efforts du Parti communiste chinois. « Je suis très heureux d'avoir pu partager le bonheur de vivre dans ce pays, ici avec le peuple chinois », a dit Moussa avec émotion.
Témoin de la coopération sino-malienne et sino-africaine
Moussa estime que la coopération bilatérale entre la Chine et le Mali pendant l'épidémie a reflété le développement des relations bilatérales au cours des 60 dernières années. « La Chine veille toujours sur la sécurité des autres, et le peuple malien est reconnaissant pour les matériels et les secours fournis par la Chine. Cela a considérablement amélioré le niveau de coopération entre la Chine et le Mali ». Les résultats actuels de la gestion sanitaire du Mali n'auraient pas pu être gagnés sans la coopération avec Chine. « Nous avons appris de la Chine comment lutter contre l'épidémie, et la Chine a également été très généreuse de partager sa propre expérience."
Située dans la partie nord-ouest du continent africain, la République du Mali est le deuxième plus grand pays d'Afrique de l'Ouest et joue un rôle unique dans la politique africaine. Moussa a hautement salué les résultats de la coopération sino-africaine, estimant que l'assistance fournie par la Chine à la plupart des pays africains pendant l'épidémie a considérablement amélioré le niveau de la santé publique en Afrique. En tant que principal mécanisme du dialogue politique sino-africain, le Forum sur la coopération sino-africaine (FCSA) « a joué un rôle irremplaçable dans la recherche de leur propre voie de développement en s'inspirant du modèle de développement chinois et de son expérience ».
Partage de l'expérience d'apprentissage du chinois
Moussa a travaillé dur pour améliorer son niveau de langue chinoise grâce à son affinité avec celle-ci et sa connaissance approfondie de la culture chinoise. Il n'a pas hésité à partager sa propre expérience. « Il est nécessaire de créer les conditions d'immersion linguistique pour améliorer le niveau de langue chinoise », a expliqué Moussa avec enthousiasme. « Les livres que je lis, les films que je regarde et la musique que j'écoute habituellement sont tous en chinois ». Moussa considère que l'apprentissage d'une langue étrangère doit également se concentrer sur l'application qui doit servir de la motivation d'apprentissage. « L'apprentissage d'une langue étrangère ne doit pas seulement se faire à l'école, mais il faut communiquer avec les habitants locaux. Je suis extraverti et j'aime beaucoup voyager. La communication en face à face avec les habitants locaux a été très utile pour améliorer mon niveau de langue », a-t-il dit avec un sourire.