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69 pays disent non à l'ingérence dans les affaires intérieures de la Chine

Xinhua | 16.06.2022 08h17

Un groupe de pays a déclaré mardi que les questions concernant le Xinjiang, Hong Kong et le Tibet relèvent des affaires intérieures de la Chine, exprimant leur opposition à la politisation des droits de l'homme, à l'application du deux poids deux mesures et à l'ingérence dans les affaires intérieures de la Chine sous le prétexte des droits de l'homme.

Dans une déclaration commune lue par Cuba au nom de 69 pays interrégionaux lors de la 50e session du Conseil des droits de l'homme des Nations Unies, ces pays ont affirmé que le respect de la souveraineté, de l'indépendance et de l'intégrité territoriale des Etats et la non-ingérence dans les affaires intérieures des Etats souverains constituent des normes fondamentales régissant les relations internationales.

"Nous maintenons que toutes les parties doivent se conformer aux buts et principes de la Charte des Nations Unies, adhérer aux principes d'universalité, d'impartialité, d'objectivité et de non-sélectivité, et respecter le droit du peuple de chaque Etat à choisir de manière indépendante sa voie de développement conformément à ses conditions nationales", a noté la déclaration conjointe.

Tous les droits de l'homme doivent être traités avec la même insistance, une importance suffisante devant être accordée aux droits économiques, sociaux et culturels et au droit au développement en particulier, a-t-elle ajouté.

"Aujourd'hui, les êtres humains sont confrontés à de multiples défis, dont la pandémie de COVID-19. La communauté internationale devrait défendre le multilatéralisme, renforcer la solidarité ainsi que la coordination, répondre conjointement aux défis mondiaux, faire progresser la paix et le développement dans le monde, ainsi que promouvoir et protéger les droits de l'homme", a souligné la déclaration.

(Rédacteurs :Shuang Sheng, Yishuang Liu)
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