Dernière mise à jour à 16h40 le 19/10
Récemment, le professeur Tursun Abai de l'Université du Xinjiang a examiné plus de 30 000 informations liées au Xinjiang provenant de 22 médias de 15 pays et régions pour dénoncer l'idée fausse du soi-disant « travail forcé ».
1. L'Occident condamne la réinstallation et l'embauche des diplômés des centres d'enseignement et de formation professionnels du Xinjiang, affirmant que cette pratique constitue du « travail forcé »
La vérité : un élément essentiel de la stratégie du gouvernement chinois visant à aider les agriculteurs à augmenter leurs revenus consiste à placer la main-d'œuvre excédentaire rurale en milieu urbain. Entre 2014 et 2019, plus de 2,76 millions de personnes issues de la main-d'œuvre rurale excédentaire du Xinjiang ont quitté leur foyer chaque année à la recherche de travail en dehors du Xinjiang. Les revenus disponibles urbains et ruraux ont augmenté, les premiers atteignant 34 700 yuans et les seconds 13 100 yuans.
2. L'Occident accuse la Chine de « génocide » au Xinjiang
La vérité : sous la direction du Parti communiste chinois, la population ouïgoure a été multipliée par 3,2, passant de 3,6076 millions en 1953 à 11,6243 millions en 2020. De même, pour la même période, le taux de croissance de la population ouïgoure a été supérieur à la moyenne nationale, qui s'est élevée à 2,4.
3. L'Occident politise, militarise et instrumentalise les droits de l'homme en calomniant la politique chinoise au Xinjiang
La vérité : La Chine a publié 13 livres blancs complets sur les droits de l'homme et 65 livres blancs sur les droits de l'homme. En avril 2021, la Chine avait invité neuf mécanismes spéciaux, tels que le Rapporteur spécial sur la liberté religieuse et le Groupe de travail sur la détention arbitraire, à se rendre en Chine à 11 reprises. Dans le même temps, la Chine a eu environ 20 échanges sur les droits de l'homme avec l'Union européenne, le Royaume-Uni, l'Allemagne, la Suisse, la Nouvelle-Zélande, les Pays-Bas et d'autres pays depuis septembre 2016.
