Dernière mise à jour à 08h45 le 28/03
Le gouvernement pakistanais a fait appel à l'armée pour contrôler la situation dans la capitale, après que des milliers de membres d'un groupe religieux ont incendié dimanche une station de bus et des véhicules près du parlement.
Les manifestants protestaient contre la pendaison le mois dernier de Mumtaz Qadri, un ex-policier qui avait tué l'ancien gouverneur de la province du Pendjab, Salman Taseer.
Les manifestants sont venus de tout le pays et sont entrés dans la zone de haute sécurité, où se trouvent le parlement, des ambassades et d'autres bâtiments gouvernementaux clés.
La police avait bloqué des routes menant au parlement en plaçant des conteneurs. Les manifestants ont pourtant réussi à avancer au qurtier près du parlement et des résidences des législateurs.
Les manifestants et les policiers se sont affrontés à plusieurs endroits lorsque les manifestants ont tenté de forcer la ligne rouge établie par la police. Un officier paramilitaire a été blessé et la police a arrêté plusieurs manifestants.
Les manifestants ont incendié plus tard une station de bus et plusieurs véhicules, a indiqué la police.
L'armée a été appelée en aide à la police pour contrôler la situation et "sécuriser la zone rouge," a affirmé le porte-parole de l'armée, le général Asim Bajwa.
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