Dernière mise à jour à 15h13 le 15/11
De nombreuses parties de la Chine ont annoncé l'annulation des tests d'acide nucléique de masse alors qu'une circulaire sur l'optimisation de la réponse au COVID-19 qui comprend 20 mesures de prévention et de contrôle a été publiée le 11 novembre par le mécanisme conjoint de prévention et de contrôle du Conseil des Affaires de l'État, le gouvernement chinois, contre le COVID-19.
Photo montrant un lieu de test d'acide nucléique à Shanghai (est de la Chine). (Photo / China News Service)
Le 14 novembre, la ville côtière de Sanya, dans la province du Hainan (sud de la Chine), la ville de Fuzhou, dans la province du Fujian (sud-est de la Chine), le comté de Guangchang dans la province du Jiangxi (est de la Chine), la ville de Yanji, dans la province du Liaoning (nord-est de la Chine), la ville de Hefei, capitale de la province de l'Anhui (est de la Chine), la ville de Shijiazhuang, capitale de la province du Hebei (nord de la Chine) et Shanghai (est de la Chine)ont annoncé que les tests d'acide nucléiques seront abolis ou suspendus, a annoncé le National Business Daily.
Selon la circulaire récemment publiée, les personnes contacts étroits secondaires ne seront plus identifiées. Les catégories de zones à risque COVID-19 seront ajustées d'« élevé, moyen et faible » à « élevé et faible » afin de minimiser le personnel en quarantaine ou sous surveillance sanitaire.
Les tests d'acide nucléique du COVID-19 doivent être effectués parmi les personnes travaillant dans des postes à haut risque ou dans des groupes clés dans des régions sans infection selon la neuvième édition des protocoles de contrôle du COVID-19 de la Chine, a également indiqué la circulaire, ajoutant que l'expansion de la couverture des tests est interdite.
