Dernière mise à jour à 10h27 le 24/12
Trois étudiants d'université tanzaniens ont remporté le premier prix de la finale régionale de la compétition de TIC de Huawei en Afrique subsaharienne, tandis que trois autres ont remporté le deuxième prix de la finale mondiale du concours.
Le Premier ministre tanzanien Kassim Majaliwa a remis mercredi leurs prix aux lauréats durant la cérémonie de remise des prix du concours de TIC de Huawei à l'université de Dar es Salaam.
M. Majaliwa a félicité Huawei Tanzanie pour ses contributions à l'amélioration des compétences des jeunes étudiants tanzaniens en matière de technologies de l'information et de la communication (TIC), affirmant que ces compétences permettraient d'alimenter la croissance sociale et économique du pays.
Le Premier ministre a exhorté les entreprises locales liées aux TIC à imiter le programme de Huawei, afin de renforcer les compétences des jeunes dans ce domaine et d'aider le pays à passer à l'économie numérique.
"J'espère que le concours de TIC de Huawei permettra de continuer à découvrir et à former de nouveaux talents en matière de TIC en Tanzanie, et que grâce à une coopération approfondie entre nos gouvernements et nos entreprises, la Tanzanie pourra se doter d'une infrastructure TIC plus avancée", a indiqué Wang Ke, ambassadeur de Chine en Tanzanie.
"L'industrie des TIC, en tant qu'industrie fondamentale de l'ère numérique, est un support essentiel à la transformation numérique de toutes les industries, et joue un rôle moteur dans le développement innovant de l'économie mondiale", a déclaré M. Wang.
Environ 5.000 jeunes Tanzaniens ont participé à la compétition mondiale de TIC de Huawei au cours des deux dernières années, a indiqué Frank Zhou, PDG de Huawei Tanzanie.
"Au fil des années, Huawei a formé plus de 3.000 ingénieurs en TIC tanzaniens", a-t-il affirmé, ajoutant que Huawei s'était associé à 14 universités du pays pour créer des académies de TIC Huawei, qui proposeront des formations certifiées dans ce domaine.
La cérémonie a également été suivie par Joyce Ndalichako, ministre de l'Education, des Sciences, de la Technologie et de la Formation professionnelle, et par Faustine Ndugulile, ministre de la Communication et des Technologies de l'information.