Dernière mise à jour à 09h05 le 27/12
La signature par les Etats-Unis de la prétendue "Loi sur la prévention du travail forcé des Ouïghours", qui interdit les importations en provenance de la région chinoise du Xinjiang, constitue une intimidation économique et une nouvelle tentative d'ingérence dans les affaires intérieures de la Chine, ont déclaré des analystes à Xinhua.
Cette loi, fondée sur des informations malavisées et préjudiciables à la Chine, est "une ingérence pure et simple dans les affaires intérieures chinoises et une violation grave du droit international", a déclaré Muhammad Asif Noor, directeur du groupe de réflexion Institute of Peace and Diplomatic Studies, basé à Islamabad.
La politique étrangère américaine est tournée vers l'ingérence dans les affaires intérieures des pays, mais le monde n'y est plus aveugle, a souligné M. Noor.
Abdul-Raziq Ziyada, analyste politique soudanais, voit dans la décision américaine "une violation manifeste du droit international régissant les relations entre les pays".
Selon Cavince Adhere, spécialiste des relations internationales basé au Kenya, la signature de cette loi est "la continuation de la désinformation pratiquée depuis longtemps par les Etats-Unis sur les Chinois vivant au Xinjiang et une tentative claire de superposer la politique aux relations économiques" entre la Chine et les Etats-Unis.
Les sanctions de l'administration américaine contre le Xinjiang peuvent conduire à une situation où les entreprises et les consommateurs américains et chinois doivent faire face aux ramifications d'une "politique empoisonnée" au lieu de profiter des dividendes de la mondialisation économique, a déclaré Cavince Adhere.
Le président du Centre analytique russo-chinois Sergueï Sanakoïev estime que les questions liées au Xinjiang ne sont pas du tout des questions de droits de l'homme, mais des questions d'anti-terrorisme et d'anti-sécession.
Lorsque les Etats-Unis ont accusé la Chine de "travail forcé", ils n'ont jamais produit de preuves convaincantes, a-t-il affirmé, ajoutant que les Etats-Unis tentaient de provoquer des conflits entre les groupes ethniques et les religions en Chine, de déstabiliser la situation et de freiner le développement de la Chine.
Murata Tadayoshi, professeur honoraire à l'Université nationale de Yokohama au Japon, a déploré que les Etats-Unis aient calomnié la Chine en l'accusant de "génocide".
Les statistiques de la croissance continue de la population ouïgoure au Xinjiang peuvent réfuter le mensonge du "génocide" et les résultats tangibles sont étayés par des données détaillées, a-t-il déclaré.
Jorge Valero, ancien représentant permanent du Venezuela auprès des Nations Unies à Genève, a déclaré qu'il avait visité le Xinjiang à l'invitation du gouvernement chinois et qu'il avait pu constater les progrès réalisés par la population du Xinjiang sous la direction avisée du Parti communiste chinois et du gouvernement local.
Il a exprimé son appréciation des mesures globales prises par la Chine pour prévenir le terrorisme, conformément à la stratégie antiterroriste mondiale des Nations Unies.
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