Dernière mise à jour à 10h42 le 10/12
Depuis septembre 2021, des pays occidentaux comme la France, les États-Unis, l'Australie, le Royaume-Uni, le Canada et l'Irlande ont élargi leur liste de vaccins anti-COVID reconnus que les voyageurs entrant dans ces pays doivent recevoir. Ils ont reconnu tous les vaccins approuvés par l'Organisation mondiale de la santé (OMS), dont les vaccins chinois produits par Sinopharm et Sinovac. Cela signifie que les voyageurs du monde ayant reçu les vaccins Sinopharm ou Sinovac au cours des 14 jours précédant leur entrée sur le territoire peuvent entrer dans ces pays sans quarantaine.
Le 24 septembre 2021, les 300 000 doses de vaccins Sinopharm dans le cadre du don du gouvernement chinois à Madagascar sont arrivées à sa capitale Antananarivo. (Photo fournie par l'Ambassade de Chine à Madagascar)
Les pays occidentaux ont finalement fait un pas dans la bonne direction en reconnaissant les vaccins chinois. Depuis la mise au point des vaccins chinois, les pays occidentaux, qui avaient répandu les rumeurs et dénigré les vaccins chinois, ont fini par les reconnaître progressivement. Comment expliquer cette volte-face de ces pays ? La réponse est évidente : les vaccins chinois ont réfuté les doutes par leur efficacité, et ont gagné le respect par la crédibilité. Les pays occidentaux sont obligés d'abandonner leurs opinions biaisées sous forte influence idéologique.
Les études scientifiques et les données cliniques de différents pays ont déjà prouvé la sécurité et l'efficacité des vaccins chinois.
Le 28 février 2021, les 600 000 doses de vaccins anti-COVID dans le cadre du don chinois aux Philippines sont arrivées à l'aéroport de Manille. Les vaccins chinois ont été les premiers vaccins que les Philippines ont reçus. (Photo fournie par l'Ambassade de Chine aux Philippines)
Aux États-Unis, un rapport d'étude publié par la revue médicale américaine The Journal of the American Medical Association montre que 2 nouveaux vaccins inactivés développés par China National Biotec Group (CNBG), filiale de Sinopharm, ont produit un titre (concentration) élevé d'anticorps 14 jours après l'injection de la 2e dose, offrant une protection efficace. Le taux de conversion positive des anticorps neutralisants a dépassé 99% pour l'ensemble des personnes vaccinées.
Selon un rapport d'études publié par l'University de Sri Jayawardenapura au Sri Lanka, des anticorps apparaissent chez 95% des personnes ayant reçu 2 doses de vaccins Sinopharm. Les vaccins Sinopharm s'avèrent efficaces contre le variant Delta.
Les 200 000 doses de vaccins Sinopharm que la Croix-Rouge chinoise a données au Croissant-Rouge du Bangladesh sont parties le 25 octobre, l'heure de Beijing. (Photo fournie par la Croix-Rouge chinoise)
Au Chili, l'efficacité des vaccins chinois pour prévenir les formes graves a atteint 90,3%. En Uruguay, le taux de mort a chuté de plus de 95% pour des personnes âgées entre 18 et 69 ans ayant reçu les vaccins chinois.
Les faits en disent plus long que les paroles. Les organisations internationales et de nombreux pays ont accordé un vote de confiance aux vaccins chinois. Des dirigeants politiques d'un grand nombre de pays ont été les premiers à recevoir le vaccin chinois. Beaucoup de pays ont commandé le vaccin chinois. L'OMS l'a ajouté à la liste d'utilisation d'urgence.
La Chine a honoré son engagement en faisant des vaccins un bien public mondial. En tant que grande puissance manufacturière, la Chine n'a cessé de renforcer sa capacité de production de vaccins, de manière à atténuer la pénurie de vaccins dans le monde et à réduire le fossé en matière de vaccination. Jusqu'aujourd'hui, la Chine a déjà fourni plus de 1,8 milliard de doses de vaccins à plus de 120 pays et organisations internationales. Elle a fourni un tiers des 5,6 milliards de doses de vaccins administrées dans le reste du monde hors Chine.
Les pays occidentaux savent bien que les vaccins chinois sont sûrs, efficaces et abordables. Pourquoi attendent-ils jusqu'à récemment pour donner le feu vert aux vaccins chinois ? Ils l'ont fait pour leurs propres intérêts : ils ne pourront sauver leur économie durement frappée par la COVID-19 que par reconnaître les vaccins chinois.
Cette année, la vaccination contre la COVID-19 se poursuit dans le monde entier, atténuant la gravité de l'épidémie. Les pays occidentaux ont rouvert leurs frontières successivement, espérant redynamiser le tourisme et le commerce transfrontalier. Cependant, la COVID-19 présente toujours des menaces, et les rebonds épidémiques et les variants de la COVID-19 se succèdent l'un après l'autre, toujours plus dangereux. Dans ce contexte, comment baisser le risque lié à la réouverture des frontières et attirer les commerçants du monde ? S'ils contournent les vaccins chinois, la réouverture des frontières des pays occidentaux ne produira pas les effets escomptés.
En outre, personne ne peut ignorer le grand marché chinois. Avec 1,4 milliard de consommateurs, dont une classe moyenne de plus de 400 millions de personnes, le marché chinois est le plus grand marché de consommation dotée du plus grand potentiel. Qui peut se permettre de renoncer au méga-marché chinois ? Comme l'a dit Kiyoyuki Seguchi, directeur de recherche de l'Institut japonais Canon pour les études internationales, si l'on regarde le marché mondial, aucun marché ne sera aussi attrayant que le marché chinois dans les 10 à 15 ans à venir.
Aujourd'hui, la COVID-19 sévit encore dans le monde, et la reprise économique reste fragile. Le seul moyen de sortir des difficultés pour revoir la lumière est de mettre de côté les préjugés et l'attitude arrogante, de s'unir et de coopérer.
(Par Jia Pingfan)