Dernière mise à jour à 08h59 le 06/07
Les ventes foncières dans 300 villes chinoises ont été réduites sur les six premiers mois de l'année, en raison de l'impact de la pandémie de COVID-19, selon un rapport industriel.
Parmi les 300 villes sondées, les ventes ont totalisé 870 millions de mètres carrées au premier semestre de 2020, en baisse de 6% en glissement annuel, a fait savoir l'Académie des études d'indices de Chine, un institut de recherche sur l'immobilier.
Le volume de transactions de terres résidentielles a atteint 430 millions de mètres carrés lors de cette période (-5,4%) sur un an, selon un rapport de l'académie.
Les ventes de terres résidentielles dans les villes de premier rang du pays ont augmenté de 60%, alors que celles dans les villes de deuxième rang ont chuté de 1,7%, et celles dans les villes de troisième et quatrième rang ont plongé de 11,8% en glissement annuel.
La Chine a rappelé le principe selon lequel "les logements sont faits pour y habiter, et non pour la spéculation". Cependant, tout en freinant la spéculation sur le logement, la Chine mettra également en œuvre des politiques spécifiques à chaque ville dans ce secteur, selon le rapport d'activité du gouvernement de cette année.