Dernière mise à jour à 17h03 le 29/05
Du 19 au 21 mai, le Groupe des Sept (G7), dirigé par les États-Unis, a tenu un sommet à Hiroshima, au Japon, et a publié une déclaration conjointe et d'autres documents, faisant la promotion des questions liées à la Chine, s'exprimant imprudemment au sujet de la situation dans le détroit de Taiwan, et utilisant la soi-disant « coercition économique » pour faire allusion à la Chine.
Ce dernier sommet du G7 a entièrement été une tentative des États-Unis de maintenir leur position hégémonique, d'attirer les « petits cercles », de provoquer des affrontements de groupe et d'instrumentaliser le G7, le transformant de fait en « G1 ». En fait, le G7 lui-même est constamment en conflit, chacun jouant sa propre partition et faisant ses petits calculs. Par exemple, sur les questions économiques, les États-Unis insistent sur « l'Amérique d'abord » et sont prêts à sacrifier les intérêts de leurs alliés pour atteindre leurs propres objectifs. Cependant, dans le même temps, certains pays européens souhaitent toujours rechercher une autonomie stratégique et ne veulent pas suivre le « découplage » et la « rupture de chaîne » prônés par les États-Unis.
(Auteur du dessin : Ma Hongliang)
L'unité apparente du G7 ne saurait masquer sa désagrégation interne. Les membres du Groupe des Sept seraient mieux avisés de s'adapter à la tendance d'une ère ouverte et inclusive et à réfléchir davantage à la manière de faire de bonnes actions tangibles pour la paix, la stabilité et le développement dans le monde.
(Par Chen Zi)
