Beijing ne dispose pas de fonds suffisants pour protéger les zones historiques de la ville et de nombreux résidents dans ces espaces vivent encore dans de mauvaises conditions, indique un rapport publié samedi par l'organisme législatif municipal.
Le comité permanent de l'Assemblée populaire de Beijing a déclaré que la protection dépendait essentiellement du gouvernement et souffrait d'un défaut d'argent. Les investissements sociaux sont modestes, faute d'un mécanisme pour attirer ce type d'investissements.
D'après ce rapport, environ 300.000 résidents de Beijing vivent dans ces zones en situations difficiles en termes de logements et d'infrastructures.
Par ailleurs, le gouvernement n'a pas publié les critères pour définir quels types d'immeubles devraient être protégés, ni quels types d'activités risqueraient de nuire au patrimoine historique, ajoute ce rapport.