Dernière mise à jour à 16h29 le 27/12
1/18Un parent d'un patient met un plat dans un bol dans une cuisine partagée à Zhengzhou, capitale de la province du Henan (centre de la Chine), le 14 décembre 2021. (Xinhua/Li Jianan)
2/18Zhang Guangbing (à gauche) et une employée préparent des ingrédients dans sa cuisine partagée à Zhengzhou, capitale de la province du Henan (centre de la Chine), le 14 décembre 2021. (Xinhua/Li An)
3/18Zhang Guangbing boit de l'eau pendant une pause dans sa cuisine partagée à Zhengzhou, capitale de la province du Henan (centre de la Chine), le 14 décembre 2021. (Xinhua/Li An)
4/18Zhang Guangbing prépare des ingrédients pour un porridge gratuit dans sa cuisine partagée à Zhengzhou, capitale de la province du Henan (centre de la Chine), le 14 décembre 2021. (Xinhua/Li An)
5/18Zhang Guangbing (à droite) aide un parent de patient à tenir un récipient dans sa cuisine partagée à Zhengzhou, capitale de la province du Henan (centre de la Chine), le 14 décembre 2021. (Xinhua/Li An)
6/18Zhang Guangbing met de l'huile de cuisson dans sa cuisine partagée à Zhengzhou, capitale de la province du Henan (centre de la Chine), le 14 décembre 2021. (Xinhua/Li An)
7/18Des parents des patients cuisinent dans une cuisine partagée à Zhengzhou, capitale de la province du Henan (centre de la Chine), le 8 décembre 2021. (Xinhua/Li Jianan)
8/18Le parent d'un patient prend du porridge gratuit dans une cuisine partagée à Zhengzhou, capitale de la province du Henan (centre de la Chine), le 14 décembre 2021. (Xinhua/Li An)
9/18Zhang Guangbing aide un parent d'un patient à cuisiner un plat dans sa cuisine partagée à Zhengzhou, capitale de la province du Henan (centre de la Chine), le 14 décembre 2021. (Xinhua/Li Jianan)
10/18Les familles de patients cuisinent dans une cuisine partagée à Zhengzhou, capitale de la province du Henan (centre de la Chine), le 14 décembre 2021. (Xinhua/Li Jianan)
11/18Zhang Guangbing prépare du porridge gratuit dans sa cuisine partagée à Zhengzhou, capitale de la province du Henan (centre de la Chine), le 14 décembre 2021. (Xinhua/Li An)
12/18Zhang Guangbing travaille dans sa cuisine partagée à Zhengzhou, capitale de la province du Henan (centre de la Chine), le 14 décembre 2021. (Xinhua/Li Jianan)
13/18Photo prise le 14 décembre 2021 montrant Zhang Guangbing et sa cuisine partagée à Zhengzhou, capitale de la province du Henan (centre de la Chine). (Xinhua/Li An)
14/18Les familles des patients cuisinent dans une cuisine partagée à Zhengzhou, capitale de la province du Henan (centre de la Chine), le 8 décembre 2021. (Xinhua/Li Jianan)
15/18Zhang Guangbing prépare des ingrédients dans sa cuisine partagée à Zhengzhou, capitale de la province du Henan (centre de la Chine), le 14 décembre 2021. (Xinhua/Li Jianan)
16/18Des parents de patients préparent des plats dans une cuisine partagée à Zhengzhou, capitale de la province du Henan (centre de la Chine), le 8 décembre 2021. (Xinhua/Li Jianan)
17/18Zhang Guangbing prend son petit-déjeuner dans sa cuisine partagée à Zhengzhou, capitale de la province du Henan (centre de la Chine), le 14 décembre 2021. (Xinhua/Li An)
18/18Zhang Guangbing (à droite) discute avec un parent d'un patient dans sa cuisine partagée à Zhengzhou, capitale de la province du Henan (centre de la Chine), le 14 décembre 2021. (Xinhua/Li An)
À Zhengzhou, capitale de la province du Henan (centre de la Chine), un homme gère une cuisine partagée près d'un hôpital de maladies du cancer.
Après avoir pris soin de son père dans un hôpital, Zhang Guangbing a décidé d'ouvrir la cuisine en 2014 pour que les familles des patients puissent préparer des repas.
« Je connais bien les difficultés des familles de malades du cancer, qui épuisent peu à peu leur énergie, leur force et leur argent dans le processus prolongé du traitement médical », a dit Zhang Guangbing, 29 ans.
Toute personne souhaitant utiliser la cuisine commune de 120 mètres carrés ne paie que 5 yuans (environ 78 centimes de dollar) pour cuisiner des plats frits, et 10 yuans pour un ragoût.
De nombreuses familles de patients utilisent cette cuisine, car ils pensent que la nourriture cuisinée à la maison est le meilleur moyen de prendre soin de leurs proches.
M. Zhang espère que la nourriture pourra apporter un certain réconfort à ceux qui souffrent physiquement et contribuer à alléger le fardeau financier de leurs familles.