Le Parlement du Bénin a adopté, dans la nuit de jeudi à vendredi, un code de l'information et de la communication qui supprime les peines privatives de libertés pour les délits de presse.
Aux termes de ce code, les peines de prison sont supprimées essentiellement pour la diffamation, l'injure et l'offense au chef de l'Etat.
Mais, les amendes sont maintenues ainsi que la possibilité pour les victimes de ces infractions d'obtenir réparation de préjudices par des condamnations pécuniaires.
Ce code définit le statut des professionnels de l'information et de la communication et crée les conditions d'un accès équitable aux sources d'information.
"L'adoption de ce code est un événement inédit", a indiqué le ministre béninois de la Communication à l'issue du vote de ce code.
"La liberté de presse est en train de devenir une réalité au Bénin", a-t-il indiqué.
Le président de l'Union des professionnels des médias, Franck Kpochémè, a salué l'avènement de ce code et remercié le Parlement parce que le projet de code déposé par le gouvernement contenait encore des peines privatives de libertés.
Face à la sécheresse, les Californiens repeignent leurs pelouses jaunies en vert
Chine : les points forts du Livre blanc sur la stratégie militaire
L'amour aurait donc les mêmes effets que l'alcool sur notre cerveau
Google Ours : en peluche et presque vivant !
Le robot Curiosity a commencé un nouveau voyage sur Mars
Le virus de l'herpès pourrait aider à lutter contre le cancer
A quoi ressemblera le plus grand hôtel du monde ?
John Kerry s'est cassé le fémur dans un accident de vélo en Suisse
Gérard Depardieu : je peux mourir à présent
Nous suivre sur WeChat : rmw_french
Les enfants soviétiques de la Seconde Guerre mondiale
Le métro de Pyongyang nous ouvre ses portes
Le premier noir moine de Shaolin
Top 15 des marques à la plus forte valeur en 2015
Fin des sacs en plastique à compter de 2016
Des singes au coeur d'une agression sexuelle
Une girafe avec un cou en zigzag