Dernière mise à jour à 16h42 le 22/06
1/8Un thermomètre affiche 43 degrés Celsius, à l'heure où des touristes posent leurs valises lors d'une chaude journée de printemps à Séville (sud de l'Espagne), le 8 juin 2016. [Photo/Agences]
2/8Un homme se rafraîchit dans une rivière en banlieue d'Islamabad au Pakistan, le 20 mai 2016. [Photo/Agences]
3/8Buyan, un ours sibérien prend le frais, avec une une température de plus de 33 degrés au zoo Royev Ruchey, dans la banlieue russe de Krasnoyarsk, le 14 juin 2016. [Photo/Agences]
4/8Des voyageurs utilisent des parapluies pour échapper au soleil brûlant lors d'une journée printanière à Séville (Espagne), le 9 juin 2016. [Photo/Agences]
5/8Des touristes profitent d'un peu d'air frais sur la plage espagnole de Barceloneta, à Barcelone, le 8 juin 2016. [Photo/Agences]
6/8Pour se protéger de la grosse chaleur, un homme tient un parapluie alors qu'il se promène sur les rives du fleuve du Gange à Allahabad en Inde, le 25 mai 2016. [Photo/Agences]
7/8Petite douche pour échapper à la canicule, à Islamabad au Pakistan, le 14 juin 2016. [Photo/Agences]
8/8Des habitants font trompette dans la rivière Yamuna, lors d'une chaude journée à Allahabad (Inde), le 3 juin 2016. [Photo/Agences]
L'année 2016 devrait battre tous les records de chaleur. Le mois dernier a été le plus chaud des mois de mai depuis 137ans, d'après un rapport récemment publié par l'Administration américaine pour les océans et l'atmosphère (NOAA), a rapporté CNN.
Les dernières données ont montré que le mois de mai était le 13e mois consécutif ayant des températures mondiales très élevées à travers les surfaces terrestres et maritimes. La période la plus longue et la plus chaude, depuis l'enregistrement des premiers records à partir de 1880, selon la NOAA.
Des conditions plus chaudes se font sentir dans des régions comme l'Alaska, le Canada, le Mexique, le centre des Etats-Unis, le nord de l'Europe, l'Afrique, l'Océanie, et certaines zones du sud et de l'est de l'Asie, depuis la carte « Land & Ocean Temperature Percentiles » de l'administration américaine.
Avec la hausse de la concentration de CO2 dans l'atmosphère, les températures ont également grimpé. Le niveau de CO2 aurait dépassé au mois de mai les 400 parties par millions (ppm) au pôle Sud.
L'augmentation du dioxyde de carbone a été partiellement provoquée par la combustion du fuel, entraînant un réchauffement climatique, a noté la NASA.