Le Mari de Zhang, a 70 ans, souffre d''hypertension artérielle et de problèmes cardiaques depuis des années.
"Comme nous avons perdu notre seul enfant, les maisons de soins ne nous accepterons pas, car nous n'avons pas de tuteur légal pour signer pour nous", a-t-elle dit.
«Tous les jours, nous vivons dans la peur, parce que nous ne savons pas qui sera le dernier à mourir et qui pourra organiser les funérailles et régler les affaires après notre mort », a-t-elle reconnu.
Guo Ping, un chercheur assistant au Centre chinois de recherche sur le vieillissement, a déclaré que le nouvel amendement, s'il est adopté, agira comme un "fondement juridique" pour apporter plus de soutien aux parents âgés dont le seul enfant est décédé.
"Une fois énoncée dans la loi, les ministères pourront prévoir des mesures politiques plus détaillées pour aider ces parents», a indiqué le chercheur.
Zhao Yinan a contribué à cet article.