Près d'un tiers des PM 2,5 de Beijing proviennent des villes voisines, a indiqué mercredi le Bureau municipal de la protection de l'environnement.
Selon les dernières recherches sur l'origine de ces particules, 28 à 36% des polluants proviennent des villes voisines.
Les véhicules, le charbon, la production industrielle et la poussière sont respectivement responsables de 31,1%, 22,4%, 18,1% et 14,3% des PM 2,5 de la capitale.
Les PM 2,5 sont des particules fines dont le diamètre est inférieur à 2,5 micromètres et qui constituent la source du smog nocif qui sévit en Chine.
Selon Zhang Dawei, directeur du Centre municipal de surveillance de l'environnement, les émissions des véhicules sont la principale source de ces polluants et entraînent une détérioration de la qualité de l'air lorsqu'elles se mélangent à la poussière.
Le gouvernement municipal de Beijing s'est engagé à réduire d'au moins 25% la densité des PM 2,5 d'ici 2017.