Flash :

Des oulémas de 15 pays en conclave à Nouakchott pour étudier les moyens pour faire face à l'extrémisme (SYNTHESE) Les prochains présidents de l'UA doivent donner la mesure de leur leadership pour le progrès du continent (ministre béninois) RDC: le chef d'état-major de la force terrestre appelle les jeunes congolais à s'enrôler aux FARDC Le président gabonais ouvre les travaux de la concertation politique à Libreville L'UA souhaite des élections pacifiques au Kenya après les violences électorales de 2007 Des hommes armés tuent 18 chasseurs dans le nord-est du Nigeria Côte d'Ivoire : la communauté malienne mobilise des fonds pour soutenir l'armée de son pays face aux Djihadistes Mali: poursuite des frappes aériennes, engagement d'avions de transport occidentaux Ghana : le NDC au pouvoir remporte une motion de la Cour suprême pour faire partie de la pétition électorale Togo : un nouveau contingent d'une centaine de militaires togolais en route pour le Mali Le contrôle civil et démocratique des forces de sécurité est un gage de stabilité et de paix en Guinée (juriste) Bénin: Le ministre de l'Environnement de l'Habitat et de l'Urbanisme est placé en garde Mali: l'intervention militaire française au Mali n'est pas une agression contre l'islam (leader religieux) France : un automobiliste arrêté avec 70 fusils destinés à l'Algérie et la Tunisie France : un automobiliste arrêté avec 70 fusils destinés à l'Algérie et la Tunisie Mali : Tombouctou et Gao reconquis en moins d'un mois (chef d'état-major malien) Hugo Chavez retournera dans son pays (président bolivien) Chine : la « mer des fleurs de colza » au Yunnan Le Conseiller d'Etat chinois rencontre l'envoyé de la présidente de la République de Corée Les dix plus belles villes de la Méditerranée

Beijing  Brouillard~Ensoleillé  1℃~-6℃  City Forecast
Français>>Afrique

Mali : Tombouctou et Gao reconquis en moins d'un mois (chef d'état-major malien)

( Xinhua )

23.01.2013 à 13h29

Le chef d'état-major général des armées maliennes, le général Ibrahima Dahirou Dembélé, a déclaré mardi matin que la reconquête des villes symboles de Tombouctou et Gao, tombées il y a près d'un an sous le contrôle des combattants djihadistes, prendrait moins d'un mois.

"Si les appuis sont conséquents, (la libération) ne dépassera pas plus d'un mois, pour Gao (nord-est) et Tombouctou (nord-ouest)", a-t-il affirmé dans un entretien téléphonique accordé à Radio France International (RFI).

Le haut responsable militaire malien a précisé que l'opération de reconquête de ces deux villes stratégiques se ferait à partir du Mali, en particulier de la base de Mopti-Sévaré (centre), où sont stationnées des troupes françaises, mais aussi du Niger, pays limitrophe.

"A partir du Niger, les forces qui sont là-bas, les forces armées nigériennes et les forces tchadiennes qui sont en appui, pourront en moins d'un mois arriver à Gao", a-t-il poursuivi, expliquant que "l'élément ennemi", soit les groupes armés islamistes et sécessionnistes ayant occupé le nord du Mali depuis le printemps dernier, nourrissait l'intention de "se retirer dans les collines, au niveau d'Aguelhoc (nord-est)".

Le général Dahirou Dembélé a rappelé que l'objectif était "la libération totale des régions du nord du Mali", tout en estimant que la reprise des localités de Diabaly et de Douentza (centre), la veille, avec le soutien des forces armées françaises, représentait "un tournant important".

"Les partenaires français, avec l'appui aérien, ont neutralisé tous les véhicules ennemis et les éléments ennemis qui étaient dans la ville et aux environs de Diabaly, ce qui a permis à nos troupes de pénétrer dans la ville", a-t-il détaillé, commentant cette récente avancée.

Interrogé sur les troupes se trouvant en première ligne des combats contre les djihadistes, le chef d'état-major malien a affirmé qu'il s'agissait des "forces maliennes", travaillant "ensemble dans des groupements tactiques interarmées (GTIA), pour la reprise de ces villes".

Concernant la défaite subie par l'armée malienne, le 10 janvier dernier à Konna (centre), qui a précipité l'intervention française dans le conflit, le général l'a expliquée par l'absence d'appui aérien et l'épuisement des munitions.

"Je dirais même qu'on avait sous-estimé l'ennemi qui avait plus de moyens, plus d'équipements (que prévu)", a-t-il souligné. "Sans l'intervention des partenaires français, les frères d'armes des forces aériennes françaises, c'était difficile de tenir, même Sévaré", a conclu le haut gradé malien.

A lire notre dossie : La crise malienne

La guerre ne pourra pas résoudre la situation au Mali

La France, éternel gendarme de l'Afrique ? (ANALYSE)

Mali : la guerre juste


Articles recommandés:

Curiosity utilise sa brosse pour nettoyer la surface de la planète rouge

Sortie dès cet été de l'iPhone 5S et de l'iPhone low-cost ?

Pollution de l'air : les villes les plus polluées dans le monde

Des Chinoises élégantes de l'époque de la République de Chine

Accord historique entre Manchester United et deux sociétés chinoises

Shanghai : prendre le métro sans pantalon pour la performance d'art

« City Silhouette » : la solitude dans les grandes villes

Une maternelle « marie » ses petits élèves dans le Henan

Le plus haut ascenseur touristique en Chine suscite la polémique

  • Nom d'utilisateur
  • Anonyme

Sélection de la rédaction

Les Articles les plus lus |Sondage

Pages spéciales