Sa mort en 2009 avait stupéfié le monde entier et plongé ses fans dans une tristesse insondable, et quatre ans plus tard, l'ancien roi de la pop est toujours resté aussi populaire. Mais les révélations peu ragoutantes que viennent de faire ses anciennes femmes de ménage pourraient peut-être écorner quelque peu son image.
Alors que l'on a appris que le ranch de l'artiste, Neverland, allait être mis en vente, les confessions de trois de ses ex-employées au New York Post, si jamais elles s'avéraient vraies, pourraient à nouveau jeter le doute sur la santé mentale de Michael Jackson, que certains décrivaient déjà de son vivant comme bizarre, à tel point qu'il avait reçu le surnom peu enviable de « Wacko Jacko » (« Jacko le timbré »(.
Selon la première, « Michael allait voir les animaux [présents sur le ranch] et il ramenait … des déjections et s'en fichait. Et si vous lui faisiez remarquer, il menaçait d'en faire des ‘boules de neige' et de vous les jeter dessus ». la seconde a expliqué qu'en 1993, après une visite d'Oprah Winfrey et d'Elizabeth Taylor, Michael a « littéralement uriné sur le sol du hall d'entrée, juste là où Oprah venait de passer ». « C'était surréaliste. Il s'est juste planté là, a défait son pantalon et inondé le sol », enfonçant le clou en racontant que les draps du chanteur, qui portaient les traces de combats de nourriture avec des invités n'étaient jamais changés, sur ordre même de Michael Jackson : « Il y a eu de nombreuses fois où j'ai dû rentrer en douce pour changer ses draps. Je ne pouvais pas comprendre comment il dormait dans une telle saleté », a raconté la seconde femme de ménage, évoquant « des sous-vêtements, un poulet à demi-mangé, des chips et des bouteilles vides » dans le lit et sur le sol de la chambre. « L'endroit sentait extrêmement mauvais ».
D'après une de ces femmes de ménage, le seul endroit propre de la chambre était le placard où se trouvaient son smoking noir, ses fameux mocassins et ses vestes à sequins, fait étonnant lorsqu'on sait que le chanteur était aussi, selon le récit d'une des femmes de ménage, particulièrement attaché à « une couche de bébé sale et à un caleçon porté par quelqu'un qui était sans aucun doute un ado ou un jeune adulte ». Pour une autre enfin, c'était un « drogué dépravé ». Ces révélations qui font froid dans le dos n'empêchent cependant pas les ventes de ses disques à être toujours aussi prospères…