Dernière mise à jour à 15h40 le 29/11
1/6Sonam Tsering, un Manpa (médecin traditionnel), présente aux étudiants les herbes médicinales pour le bain thérapeutique « Lum » enregistré dans le thangka médical Gyud zhi (Les Quatre Trantras).
2/6Des étudiants de l'Unibersité de médecine traditionnelle tibétaine lisent le Gyud zhi (Les Quatre Tantras) à Lhassa, capitale de la région autonome du Tibet.
3/6Un médecin tibétain traditionnel enseigne aux étudiants comment identifier les herbes médicinales.
4/6Deux Manpas (médecins traditionnels) cueillent les herbes pouvant être utilisées pour le bain therapeutique dans la région autonome du Tibet.
5/6Un héritier du bain traditionnel tibetain donne des instructions à un pharmacien pour la décoction des herbes.
6/6Des gens prennent un bain dans une source d'eau chaude se trouvant à 4 590 mètres au-dessus du niveau de la mer au Tibet.
Dans l'après-midi du 28 novembre, lors du Comité intergouvernemental de l'UNESCO pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel, le bain thérapeutique tibétain a été inscrit sur la Liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l'humanité.
Constituant un héritage et un développement dans la pratique de santé contemporaine de la théorie de la médecine tibétaine traditionnelle, représentée par « Les Quatre Tantras », le bain thérapeutique de la médecine traditionnelle tibétaine, appelé également « Lum » en tibétain, vise à équilibrer le corps et l'esprit pour parvenir à une vie saine et au contrôle et la prévention des maladies par le biais de bains dans des sources d'eau chaude naturelle, de décoctions d'herbes médicinales et de bains de vapeur.
L'inscription du bain thérapeutique tibétain fait de la Chine un pays comptant désormais 40 éléments inscrits sur la Liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l'UNESCO et reflète les progrès du pays en matière de capacités de conformité et son niveau de protection du patrimoine culturel immatériel.