Développeurs et éditeurs de jeux mobiles en pleine promotion de jeux mobiles lors d'une exposition internationale de l'Internet à Nanting , province du Jiangsu. Le nombre de joueurs mobiles en Chine devrait passer à 288 millions en 2013, contre 192 millions en 2012. |
Le fondateur d'iDreamsky voit un avenir fort pour les travaux de la publication de d'autres joueurs
Pendant son enfance, Jeff Lyndon, appartenait au noyau dur des joueurs de jeux vidéos, sa mère avait l'habitude de lui faire la morale à chaque fois qu'elle le voyait jouer : «Est-ce une vie de passez tout son temps à jouer à des jeux vidéos !»
Bien qu'il considérait que son comportement à l'époque était un «mauvais modèle», le jeune homme de 31 ans né à Hong Kong s'est fait une place dans l'industrie des jeux mobiles en Chine. En fait, aujourd'hui, il fait beaucoup mieux que de simplement gagner sa vie.
J.Lyndon est le co-fondateur et vice-président exécutif de iDreamsky basée à Shenzhen, un éditeur de jeux chinois qui a su prendre une position de leader grâce à la publication dans le pays de certains jeux mobiles occidentaux les plus connus, tels que Fruit Ninja de Halfbrick et la série Temple Run Imangi.
Surfant sur la vague de croissance rapide du marché des smartphones sur en Chine, iDreamsky a consolidé le jeu Temple Run au point d'avoir près de 200 millions de joueurs en Chine avec environ au quotidien 7 millions d'utilisateurs. Fruit Ninja a accumulé encore plus de joueurs, le fait d'avoir été présenté en Chine un peu plus tôt.
«Ce sont des jeux devenus nationaux en Chine», a indiqué fièrement Lyndon. Les Statistiques de China News Research Co ont montré qu'au mois de septembre il y avait environ 223 millions de joueurs mobiles en Chine.
Inciter les propriétaires de smartphone à jouer aux jeux mobiles est plutôt facile, mais les amener à payer pour ces jeux est une tâche ardue. C'est aussi extrêmement difficile pour les développeurs de jeux étrangers pour lutter contre les clones et de naviguer dans le labyrinthe des différentes boutiques d'applications en Chine. C'est pourquoi certains développeurs cherchent un éditeur pour les aider à exécuter leurs jeux.
Contrairement à la majorité des sociétés chinoises qui, ensemble, élaborent et publient des jeux, iDreamsky n'adopte pas un double rôle. «Nous ne publions que des jeux et ce ne sont pas nos propres titres», a noté le responsable, une stratégie payante à laquelle l'entreprise devait en partie son succès.