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Les gojis du bassin du Qaidam sont mûrs

le Quotidien du Peuple en ligne | 28.09.2021 13h14
  • Les gojis du bassin du Qaidam sont mûrs

    1/6La zone de plantation de goji de la préfecture de Haixi, dans la province du Qinghai (nord-ouest de la Chine). (Photo / Xinhua)

  • Les gojis du bassin du Qaidam sont mûrs

    2/6La zone de plantation de goji de la préfecture de Haixi, dans la province du Qinghai (nord-ouest de la Chine). (Photo / Xinhua)

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    3/6Des travailleuses cueillent du goji dans la zone de plantation de goji de la préfecture de Haixi, dans la province du Qinghai (nord-ouest de la Chine). (Photo / Xinhua)

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    4/6Huang Jiwen et sa famille déjeunent dans leur champ de goji dans la préfecture de Haixi, dans la province du Qinghai (nord-ouest de la Chine). (Photo / Xinhua)

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    5/6Sur la cour de séchage, des ouvrières sèchent du goji dans la zone de plantation de goji de la préfecture de Haixi, dans la province du Qinghai (nord-ouest de la Chine). (Photo / Xinhua)

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    6/6L'ouvrière du séchage, Li Lanying (premier à partir de la droite) et d'autres ouvrières font sécher du goji dans la zone de plantation de goji de la préfecture de Haixi, dans la province du Qinghai (nord-ouest de la Chine). (Photo / Xinhua)

En septembre, le bassin du Qaidam accueille une fois de plus une récolte abondante de goji.

Depuis 2008, dans le bassin de Qaidam, connu pour son désert aride, le goji, qui possède à la fois une valeur économique et des avantages écologiques, a été largement planté. Actuellement, la zone de plantation de goji de la préfecture de Haixi, dans la province du Qinghai (nord-ouest de la Chine), compte plus de 450 000 mu, ce qui en fait la plus grande zone de plantation de goji en Chine.

« Avant, tout le monde plantait de l'orge et du blé, mais le revenu annuel n'est que plus de 10 000 yuans », a expliqué Huang Jiwen. Maintenant, par le transfert de terre, la plantation du goji et la cueillette, le revenu annuel des habitants dépasse 40 000 yuans.

Sur le champ de goji, les cueilleurs travaillent d'une vitesse étonnante. Sur le champ de séchage, les travailleurs de séchage travaillent de manière ordonnée. De petites baies rouges passent par le nettoyage, la sélection et le séchage pour devenir les gojis sur le marché avec lesquels les consommateurs sont familiers.

Selon Zhang Qingyuan, secrétaire adjoint du comité du Parti de la ville de Keke et maire de la ville, le goji est considéré comme le « fruit d'or » qui rend la ville plus prospère. Les agriculteurs peuvent gagner de l'argent par la plantation et la cueillette du goji. La ville de Keke compte maintenant 16 villages qui plantent du goji, et la zone de plantation a doublé en 10 ans. L'année dernière, le revenu du goji a atteint plus de 21 millions de yuans.

« Ces petits gojis sont tous des fruits d'or », a dit Li Lanying, ouvrière du séchage du comté de Gangu de la ville de Tianshui, dans la province du Gansu (nord-ouest de la Chine). « Ici, on peut gagner plus de 9 000 yuans en deux mois, beaucoup plus que travailler dur pendant six mois dans le champ ».

Selon les statistiques du Bureau des ressources humaines et de la sécurité sociale de la préfecture de Haixi, il y a actuellement plus de 80 000 cueilleurs comme Li Lanying pour cueillir du goji dans le bassin de Qaidam.

 « Cette année, la récolte du goji est bonne. On pense à cueillir plus tout en assurant la qualité », a déclaré Wu Jiancheng, directeur général de la société de plantation du goji du comté de Wulan. Cette année, le gouvernement a également aidé l'entreprise à contacter un grand nombre de cueilleurs. « Ce sont les cueilleurs qui transforment les "fruits rouges" en "fruits dorés". »

En plus, ces dernières années, le gouvernement de la préfecture de Haixi a également mis en place une marque publique régionale, distribué gratuitement des engrais organiques, et renforcé la supervision de la qualité et de la sécurité pour promouvoir la mise à niveau de l'industrie du goji. Ces petits fruits rouges, qui sont produits dans le bassin du Qaidam, sont aujourd'hui exportés vers les États-Unis, l'Allemagne, le Japon et de nombreux autres pays. La valeur de la chaîne de production dépasse dix milliards de yuans.

(Rédacteurs :Shuang Sheng, Yishuang Liu)
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