Dernière mise à jour à 15h48 le 16/06
Le 14 juin, dans une entreprise de développement agricole du comté de Xianju, à Taizhou, dans la province du Zhejiang (est de la Chine), des ouvriers agricoles étaient occupés à cueillir, mettre en boîte et sceller des fraises chinoises... Après avoir passé l'inspection douanière, ce lot de fraises chinoises Dongkui, totalisant 40 boîtes et pesant environ 500 kilogrammes, prendra un vol pour Dubaï, aux Émirats arabes unis (EAU). Il s'agit également du premier lot de fraises chinoises exporté de Taizhou cette année.
Des fraises chinoises du comté de Xianju, à Taizhou, dans la province du Zhejiang (est de la Chine). (Luo Liping / China News Service)
Il ne faut que 2 jours pour que ces fraises chinoises soient cueillies et livrées à la table des consommateurs à Dubaï, grâce au « canal vert pour l'exportation des fraises chinoises » ouvert par les douanes de Taizhou. Auparavant, il fallait une demi-journée à la base d'agriculture pour effectuer une demande d'inspection et de déclaration au dédouanement, mais maintenant, il ne faut que 2 à 3 heures pour le dédouanement.
Avec une histoire de plantation des fraises chinoises depuis plus de mille ans, le comté de Xianju est connu comme « la terre natale des fraises chinoises ». Les fraises chinoises Dongkui produites localement sont aussi grosses qu'une balle de ping-pong et elles sont également de haute qualité. « Le prix de vente de ces fraises dans les supermarchés locaux à Dubaï peut atteindre 8 à 10 dollars pour chaque pièce », a précisé le responsable de l'entreprise.
C'est la troisième année que l'entreprise exporte des fraises chinoises, principalement à Dubaï, à Singapour, au Canada, aux États-Unis et en Australie. Les 40 boîtes de fraises chinoises exportées vers Dubaï cette fois-ci valent 12 000 dollars.
