Dernière mise à jour à 15h47 le 07/07
Récemment, plus de 70 pays se sont prononcés au Conseil des droits de l'homme des Nations Unies pour soutenir la Loi chinoise sur la sécurité nationale pour la région administrative spéciale de Hong Kong, démontrant pleinement leur équité et leur liberté d'esprit. Cependant, aux États-Unis, certains politiciens ont obstinément choisi de se tenir du côté opposé de la justice, sous le prétexte de ce qu'ils qualifient de « droits de l'homme » et de « liberté », salissant sans raison la loi sur la sécurité nationale pour Hong Kong et couvrant la Chine de boue sans résultats nets, révélant ainsi leurs intentions sinistres visant à manipuler la politique et comploter pour l'hégémonie.
Un ferry navigue vers la jetée de Tsim Sha Tsui dans la baie Victoria à Hong Kong, le 27 juillet 2019. (Duan Changzheng / Pic.people)
Plus un pays est sûr et plus sa société est stable, plus les droits et libertés des citoyens sont garantis. La Loi sur la sécurité nationale pour Hong Kong énonce clairement les principes importants de l'état de droit que la Région administrative spéciale de Hong Kong doit suivre pour protéger la sécurité nationale et met l'accent sur le « respect et la protection des droits de l'homme » dans ses dispositions générales. Après la promulgation et la mise en œuvre de la loi, les droits et libertés dont jouissent les résidents de Hong Kong, y compris la liberté de parole, de presse et de publication, la liberté d'association, de réunion, de cortège et de manifestation, qui sont applicables à Hong Kong conformément à la Loi fondamentale de la Région administrative spéciale de Hong Kong, au Pacte international relatif aux droits civils et politiques et au Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels ne seront en aucune manière affectés.
Tout droit a une limite et une portée clairement définies par la loi. Si quelqu'un en dépasse les limites et la portée, il devra en assumer les responsabilités légales correspondantes. Le Pacte international relatif aux droits civils et politiques dispose clairement que des droits tels que la liberté de croyance, la liberté d'expression, la liberté de réunion pacifique et l'acceptation de procès publics peuvent être soumis à des restrictions nécessaires fondées sur la sécurité nationale et l'ordre public. Les constitutions de plus de 100 pays dans le monde indiquent toutes que l'exercice des droits et libertés fondamentaux ne doit pas mettre en danger la sécurité nationale. Depuis la « tempête anti-révision » de juin de l'année dernière, des actes criminels violents radicaux et des activités favorables à « l'indépendance de Hong Kong », de la « violence noire » et des « incitations aux troubles » où se mêlaient des éléments intérieurs et extérieurs ont causé un préjudice réel à la sécurité nationale de la Chine et ont gravement porté atteinte à l'essentiel du principe « Un pays, deux systèmes », affectant gravement la sécurité de la vie et des biens des résidents de Hong Kong, et allant bien au-delà des limites et de la portée de l'exercice légal de la liberté et des droits personnels.
Une vue sur le quartier d'Admiralty à Hong Kong, prise le 26 juillet 2019. (Duan Changzheng / Pic.people)
La Loi sur la sécurité nationale pour Hong Kong ne concerne qu'un très petit nombre d'actes et d'activités illégaux et criminels qui mettent en danger la sécurité nationale, et elle garantit la sécurité de la grande majorité des résidents de Hong Kong et les droits et libertés dont ils jouissent conformément à la loi. Pour les très rares personnes qui mettent en danger la sécurité nationale, cette loi est une épée de Damoclès ; pour la grande majorité des résidents de Hong Kong, y compris les étrangers à Hong Kong, cette loi est l'« ange-gardien » qui protège leurs droits, leur liberté et leur vie paisible. Ceux qui prônent « l'indépendance de Hong Kong », incitent à la « violence noire » et complotent des « incitations aux troubles » sont les plus grands ennemis des droits, de la liberté et du droit à une vie paisible des résidents de Hong Kong et doivent être punis par la loi !
La Chine comble les failles de Hong Kong dans la sécurité nationale. C'était nécessaire et cela devait être fait. La promulgation et la mise en œuvre de la Loi sur la sécurité nationale pour Hong Kong offrira une garantie de système plus solide pour la stabilité du principe « Un pays, deux systèmes », aidera à maintenir la sécurité à long terme ainsi que la prospérité et la stabilité à long terme, de Hong Kong contribuera à mieux protéger les droits à la liberté dont jouissent les résidents de Hong Kong conformément à la loi et contribuera à protéger les droits légaux des investisseurs de tous les pays à Hong Kong. La promulgation et la mise en œuvre de la Loi sur la sécurité nationale pour Hong Kong annonce également que les mains noires des forces étrangères qui soutiennent les éléments anti-chinois et favorables au chaos à Hong Kong seront coupés. Cela a pour conséquence que certains hommes politiques aux États-Unis s'en trouvent agités et irrités, et cela montre également que ce qu'ils veulent, ce n'est qu'une soi-disant « liberté » qui sape en fait la paix, la prospérité et la stabilité à long terme de Hong Kong. Ce n'est qu'une soi-disant « liberté » qui cherche à contenir et entraver le développement de la Chine, et une soi-disant « liberté » qui portent atteinte arbitrairement aux droits légitimes des résidents de Hong Kong.
En revanche, il existe de nombreux types de lois sur la sécurité nationale aux États-Unis, comme le Patriot Act, la Loi sur la sécurité intérieure, la Loi sur le cloud, etc., adoptées après le 11 septembre 2001, et sur leurs bases, un grand nombre d'affaires ont été formulées dans le cadre de la pratique judiciaire. Le monde doit se demander pourquoi les États-Unis, qui sont très sensibles à leur propre sécurité et y attachent une grande importance, ne permettent pas à d'autres pays de prendre des mesures normales pour protéger leur propre sécurité nationale ? Quant aux droits de l'homme, certaines personnes aux États-Unis ont la fâcheuse habitude de braquer leurs projecteurs sur les affaires intérieures d'autres pays, mais ils ferment les yeux sur les violations des droits de l'homme dans leur propre pays. L'accumulation à long terme de la discrimination raciale est devenue une « tumeur maligne » de la structure sociale des États-Unis. Le projet « Prism », qui a été dévoilé en 2013, démontre en outre dans le monde à quel point les États-Unis ont violé les droits et libertés de leur propre peuple et d'autres pour le bien de leur soi-disant « sécurité nationale ». Certains politiciens américains qui auraient dû réfléchir profondément à leurs propres dettes en matière de droits de l'homme ont joué sans vergogne aux apprentis « professeurs en droits de l'homme », ce qui aux yeux du monde relève tout simplement de la plaisanterie.
Le gouvernement et le peuple chinois sont fermes dans leur détermination à sauvegarder la souveraineté nationale, la sécurité et les intérêts de leur développement, et sont déterminés à s'opposer à toute force extérieure cherchant à interférer dans les affaires de Hong Kong. Il ne peut y avoir aucune liberté d'ingérence dans les affaires intérieures des autres pays du monde. Nous conseillons à certains politiciens américains de bien comprendre la situation, et qu'ils sachent que toute tentative d'ingérence dans les affaires de Hong Kong et les affaires intérieures de la Chine ne réussira jamais.