Dernière mise à jour à 16h40 le 10/09
Depuis la réforme et l'ouverture, sous la direction du Parti communiste chinois, le peuple chinois, grâce à sa diligence et sa sagesse, a fait d'énormes progrès en matière de développement. Dans ce processus, le développement rapide de la Chine a bénéficié des échanges et de la coopération avec d'autres pays du monde, et il a également fourni à des pays, dont les États-Unis, une dynamique de croissance continue et d'importantes opportunités. C'est un fait objectif incontestable et un consensus général de la communauté internationale.
Cependant, malgré cela certains politiciens américains n'ont aucune honte à essayer de falsifier l'histoire, fabriquant la thèse absurde que « l'essence de la réforme et de l'ouverture de la Chine est que les États-Unis aident la Chine », reflétant une mentalité extrêmement malsaine, sans parler de facteurs d'ignorance, de petits calculs honteux et d'intentions encore plus imprévisibles. Il faut souligner qu'il n'y a jamais eu de sauveur dans le monde et que le développement d'un pays quel qu'il soit dépend fondamentalement de lui-même. En tant que grand pays avec une population de 1,4 milliard d'habitants, la Chine est encore moins susceptible de compter sur la charité et les dons d'autres pays pour se développer.
« L'ouverture apporte des progrès, et celui qui se ferme sera inévitablement à la traîne. Le développement de la Chine ne peut pas être séparé du monde, et la prospérité du monde a également besoin de la Chine ». Ce constat est un éclairage important de ce que la réforme et la pratique d'ouverture de la Chine apportent au monde. Grâce à la réforme et à l'ouverture de la Chine, des pays développés tels que les États-Unis et la Chine ont obtenu des avantages complémentaires en termes de facteurs de production et ont finalement obtenu des avantages mutuels, une croissance conjointe et une prospérité commune.
Il convient aussi de mentionner que la Chine a constamment surmonté les interférences causée par l'encerclement et l'acharnement des États-Unis dans le processus de développement : des sanctions économiques à grande échelle imposées à la Chine par les États-Unis au début des années 90, qui ont empêché la Chine de rétablir son statut de signataire de l'Accord général sur les tarifs douaniers et le commerce, jusqu'à la création d'obstacles à l'adhésion de la Chine à l'Organisation mondiale du commerce et la provocation unilatérale de frictions économiques et commerciales... cela n'a pas empêché la Chine de grimper les échelons un par un et de franchir les obstacles mis à son ouverture et son développement, obtenant finalement des résultats de développement reconnus dans le monde entier. En dernière analyse, c'est le travail du peuple chinois, sous la direction du Parti communiste chinois, qui a continuellement favorisé la réforme et l'ouverture, mais aussi avec un travail acharné, et de la sagesse. L'ancien secrétaire d'État américain Henry Kissinger a dit un jour avec émotion : « Les grandes réalisations viennent d'un caractère noble et d'un grand courage ... Le développement économique de la Chine ne s'est pas réalisé grâce au soutien de gouvernements étrangers, mais par la confiance en soi de la Chine. Nous sommes maintenant confrontés à des défis importants, et nous avons besoin du développement de la Chine ».
Le miracle économique réalisé par la Chine est plein de forces en mouvement. S'appuyant sur le travail acharné de « 800 millions de chemises pour un Boeing », des générations de Chinois ont travaillé sans relâche et ont continué à lutter, avec un travail acharné et une sueur inimaginable. S'appuyant sur l'autonomie qui consiste à « porter ses propres fardeaux », que ce soit dans les bons ou les mauvais moments, aucun problème n'a été exporté, aucune contradiction n'a été transmise et, combiné à la réalité chinoise, en rassemblant les leçons apprises et les expériences, en apprenant aussi de la civilisation humaine, la Chine a osé ouvrir de nouvelles voies et la route de son propre développement.
L'ouverture de la Chine au monde extérieur n'est en aucun cas uniquement pour les États-Unis, mais pour tous les pays et toutes les régions du monde. Aujourd'hui, la Chine est la deuxième économie mondiale, l'un des principaux partenaires commerciaux des principales économies mondiales et le principal stabilisateur et source d'énergie pour la croissance économique mondiale. Depuis les premières statistiques chinoises sur les investissements étrangers en 1987, la Chine a en fait utilisé plus de 2 000 milliards de dollars de capitaux étrangers, dont plus de 80 milliards de dollars américains investis par les États-Unis en Chine, qui ne représentent qu'environ 4% des investissements étrangers attirés en Chine. Face à de telles données, si ce n'est pour des arrière-pensées, qui peut encore arriver à la conclusion absurde que « le développement et la croissance de la Chine sont le résultat de l'aide des Etats-Unis »?
Les portes de la Chine s'ouvrent de plus en plus, c'est la volonté de la Chine d'accueillir des clients du monde entier, de profiter du monde et de se développer ensemble. Le peuple chinois est heureux de voir que d'autres pays obtiennent d'énormes opportunités et de riches retours du développement de la Chine. Le peuple chinois ouvre les bras pour accueillir des gens du monde entier, les invitant à prendre le « train rapide » et l'« auto-stop» du développement de la Chine.
Un grand nombre de faits prouvent avec éloquence que les États-Unis ont obtenu d'énormes avantages dans le processus de réforme et d'ouverture de la Chine. Le volume du commerce sino-américain a été multiplié par plus de 250 depuis l'établissement des relations diplomatiques, et les investissements bilatéraux sont passés de presque zéro à près de 240 milliards de dollars. Les produits de haute qualité et bon marché de la Chine ont apporté des avantages aux consommateurs américains. Le vaste marché chinois et son environnement commercial de qualité ont procuré aux entreprises américaines d'énormes bénéfices. Selon les statistiques des organisations occidentales concernées, entre 2001 et 2016, les exportations américaines de produits de base vers la Chine ont été multipliées par cinq ; jusqu'à présent, les entreprises américaines qui ont investi en Chine se montent à plus de 70 000, avec un chiffre d'affaires annuel de 700 milliards de dollars, dont 97% sont rentables. Même sous l'influence des frictions économiques et commerciales sino-américaines et de l'épidémie de COVID-19, la grande majorité des entreprises américaines comptent toujours rester en Chine et y accroître leurs investissements, contre la tendance.
Tant que nous pouvons observer le grand livre de la coopération économique et commerciale sino-américaine avec une dialectique complète et une perspective à long terme, ce qui apparaîtra aux yeux du monde doit être un vaste paysage. Malheureusement, certains politiciens américains se concentrent avec un esprit étroit sur les contradictions et des problèmes de structure économique et de répartition des avantages induits par la mondialisation et le libre-échange, et sont obsédés par l'opposition idéologique et des intérêts politiques ultérieurs. Comme chacun le sait, l'histoire et la réalité montrent que la coopération entre la Chine et les États-Unis bénéficiera aux deux pays, que la lutte nuira aux deux pays aussi, et que la coopération est le meilleur choix pour les deux parties. La coopération entre la Chine et les États-Unis, grâce à des avantages complémentaires et à l'échange de besoins, peut effectivement promouvoir leur développement économique respectif et l'optimisation et la mise à niveau des structures industrielles, toutes choses qui peuvent devenir des opportunités communes pour leur développement respectif. Certains politiciens américains devraient comprendre que l'économie est le fondement et que la politique est en fin de compte au service de l'économie. Lorsque la manipulation politique entrave ou même détruit le développement économique, ce qui en sortira inévitablement, c'est le chaos. Mettre de côté l'arrogance et les préjugés au plus vite, abandonner la « mentalité du sauveur » et traiter correctement l'histoire, la réalité et l'avenir des relations sino-américaines est la seule bonne voie.
( Par Zhong Sheng, Zhong Sheng est un pseudonyme souvent utilisé par le Quotidien du Peuple pour exprimer son point de vue sur la politique étrangère)