Dernière mise à jour à 18h03 le 24/06
Le 22 juin, lors de la 47e session du Conseil des droits de l'homme des Nations Unies tenue à Genève, en Suisse, 65 pays ont prononcé un discours commun en faveur de la Chine, soulignant que le respect de la souveraineté, de l'indépendance et de l'intégrité territoriale de tous les pays, la non-ingérence dans les affaires intérieures des pays souverains sont la norme de base des relations internationales, et que les affaires de Hong Kong, du Xinjiang et du Tibet sont les affaires intérieures de la Chine.
Ces pays ont souligné que le monde extérieur ne doit pas s'y ingérer, prônant une adhésion scrupuleuse aux buts et principes de la Charte des Nations Unies, Nous devons respecter le droit des peuples de tous les pays à choisir leur propre voie de développement des droits de l'homme en fonction de leurs conditions nationales, s'opposer à la politisation et aux « deux poids, deux mesures » sur le sujet des droits de l'homme, s'opposer aux accusations injustifiables contre la Chine fondées sur de fausses informations pour des motifs politiques et faire front face à l'ingérence dans les affaires intérieures de la Chine sous le prétexte des droits de l'homme. Les six pays du Conseil de coopération du Golfe ont envoyé conjointement une lettre pour soutenir la position de la Chine, et plus de 20 pays ont soutenu et fait écho à la position de la Chine sous la forme de discours séparés. Plus de 90 pays ont émis la voix de la justice au Conseil des droits de l'homme, avec force et puissance. Et pour la première fois, cette voix s'est propagée du Palais des Nations à Genève aux quatre coins du monde.
À l'opposé, certains pays occidentaux, comme le Canada, les États-Unis et le Royaume-Uni, dans le but politique de réprimer et de contenir la Chine, fabriquent et diffusent de fausses informations, attaquent et discréditent la Chine sous le couvert des droits de l'homme et détruisent l'atmosphère de dialogue et de coopération internationales en matière de droits de l'homme. Mais grâce à la puissante dynamique du ferme soutien des pays en développement à la Chine, le bruit de ces pays occidentaux est particulièrement isolé et dur à l'oreille. Ils ne peuvent ni représenter les normes des droits de l'homme ni l'opinion publique internationale. Ironiquement, ces pays occidentaux, qui se considèrent comme des « juges des droits de l'homme », ont eux-mêmes commis beaucoup de mauvaises actions sur les questions de droits de l'homme, et de nombreux pays ont exprimé leurs inquiétudes concernant les questions de droits de l'homme aux États-Unis et en Occident devant le Conseil des droits de l'homme.
Des exemples ? Les restes de plus de 200 enfants autochtones ont été retrouvés récemment dans un pensionnat au Canada, ce qui a rappelé aux gens les crimes historiques du Canada qui ont tué des autochtones et exterminé leur culture, notamment en séparant de force 150 000 enfants autochtones de leurs familles et en les envoyant dans des pensionnats. Au moins 4 000 de ces enfants sont morts dans des pensionnats. Au Royaume-Uni, la discrimination raciale systématique et institutionnelle devient de plus en plus grave, et un tiers des familles d'enfants de moins de 15 ans vivent dans la pauvreté. Un grand nombre de réfugiés et d'immigrants ont subi de graves violations de leurs droits. Le Royaume-Uni a tué et torturé des civils en Irak, en Afghanistan et ailleurs, mais les auteurs de ces crimes ont été protégés par le gouvernement britannique et vivent toujours dans l'impunité. Les États-Unis se font eux volontiers passer comme le « phare des droits de l'homme », mais sa lumière n'éclaire que les autres, jamais les États-Unis eux-mêmes. Même après la mort de George Floyd, la discrimination raciale systématique et la violence policière aux États-Unis sont encore monnaie courante. Depuis 2001, les États-Unis ont mené des opérations dites antiterroristes dans plus de 80 pays à travers le monde. Plus de 800 000 personnes sont mortes des suites des violences directes liées à ces guerres, dont environ 335 000 civils, entraînant aussi des dizaines de millions de déplacements.
En jetant un regard rétrospectif sur le parcours glorieux de cent ans depuis sa fondation, le Parti communiste chinois a écrit sur sa propre bannière la lutte pour les droits de l'homme et la liberté pour le peuple. Qu'il s'agisse des changements extraordinaires que furent la fondation de la Chine nouvelle, ou la réforme et de l'ouverture, ou des réalisations historiques et des changements dans la cause du Parti et de l'État depuis le 18e Congrès national du Parti communiste chinois, le Parti communiste chinois a toujours eu pour objectif l'aspiration du peuple à une vie meilleure et s'est engagé à promouvoir et à protéger en permanence les droits de l'homme dans le processus de développement, afin de faire bénéficier tous les Chinois des fruits du développement.
Le secrétaire général Xi Jinping a souligné que pouvoir mener une vie heureuse est le plus grand des droits de l'homme. Quels que soient les changements de situation, la position de la Chine sur les droits de l'homme est ferme et cohérente. Les droits de l'homme sont la poursuite commune de toute l'humanité, pas un brevet détenu par quelques pays, et encore moins un outil pour s'ingérer dans les affaires intérieures d'autres pays et inciter à la subversion. Pour sa part, la Chine continuera d'adhérer au concept des droits de l'homme « centrés sur l'être humain », de défendre les valeurs communes de paix, de développement, d'équité, de justice, de démocratie et de liberté, et de mener un dialogue et une coopération constructifs avec toutes les parties sur les questions de droits de l'homme sur la base d'égalité et de respect mutuel. Alors que la Chine inaugure la construction d'une société modérément prospère de manière globale, la cause des droits de l'homme de la Chine sera garantie à un niveau supérieur et contribuera davantage au développement sain de la cause des droits de l'homme dans le monde !
Par Zhong Sheng (Zhong Sheng est un pseudonyme souvent utilisé par le Quotidien du Peuple pour exprimer son point de vue sur la politique étrangère)