Dernière mise à jour à 10h34 le 05/07
Depuis un certain temps, les États-Unis mettent constamment en avant l'existence du soi-disant problème de « travail forcé » dans la région autonome ouïghoure du Xinjiang (nord-ouest de la Chine). En fait, toute personne réaliste peut porter un jugement basé sur la réalité. Ce soi-disant « travail forcé » est un pur mensonge du siècle. Ignorant les faits de base, les États-Unis tentent simplement de détruire l'avantage concurrentiel industriel du Xinjiang par la manipulation politique dans le but de freiner le développement de la Chine.
Auteur du dessin : Ma Hongliang
Plutôt que de porter leurs yeux sur le Xinjiang, les États-Unis pourraient tout aussi bien se pencher sur l'histoire et la réalité notoires du travail forcé chez eux. Les États-Unis n'ont pas encore ratifié la Convention sur le travail forcé de 1930, ni la Convention des Nations Unies relative aux droits de l'enfant et pas davantage la Convention sur l'élimination de toutes les formes de discrimination à l'égard des femmes. Près de 100 000 personnes sont victimes de traite depuis l'étranger pour être employées dans du travail forcé aux États-Unis chaque année, et au moins 500 000 personnes sont actuellement réduites en esclavage aux États-Unis ; un grand nombre d'enfants travailleurs aux États-Unis sont employés dans des travaux agricoles et de nombreux enfants commencent à travailler à l'âge de 8 ans ; aux États-Unis, de 240 000 à 325 000 femmes et enfants sont soumis à l'esclavage sexuel, et plus de 100 000 personnes sont détenues dans des prisons privées et engagées dans un travail forcé à haute intensité et mal rémunéré sur une longue période.
Cependant, à des fins politiques, les politiciens américains ne se confrontent pas directement à leur propre mauvaise situation en matière de droits de l'homme et, au contraire même, ils ne ménagent aucun effort pour salir le Xinjiang. Bien qu'ils aient eux-mêmes « révélé leurs sentiments » et affirmé que « le Xinjiang n'a pas de problèmes, nous le savons tous bien », ils doivent aussi garder en main la « carte du Xinjiang » et commettre l'acte ignoble consistant à répandre des rumeurs et mentir jusqu'au bout.
(Par Chen Zi)
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