Dernière mise à jour à 13h22 le 28/07
Les États-Unis ont délibérément fabriqué et diffusé le grand mensonge du « travail forcé » dans la région autonome ouïghoure du Xinjiang (nord-ouest de la Chine), ont tenté d'utiliser les droits de l'homme comme prétexte pour interférer dans le processus de développement du Xinjiang et même de la Chine et tenter de le saper, et poursuivi la politisation et le « deux poids, deux mesures » sur les droits de l'homme, tout en fermant dans le même temps les yeux sur leurs propres problèmes graves en matière de droits de l'homme. En fait, les États-Unis sont le bastion du travail forcé.
Tout le monde connaît la sinistre histoire du travail forcé des esclaves noirs aux États-Unis. Selon la base de données Transatlantic Slave Trade, entre 1525 et 1866, plus de 12,5 millions d'Africains ont été victimes de trafic vers les Amériques pour le travail forcé.
Auteur du dessin : Ma Hongliang
Aujourd'hui encore, les États-Unis sont toujours une zone durement touchée de travail forcé. Près de 100 000 personnes sont victimes de traite de l'étranger pour être utilisées dans du travail forcé aux États-Unis chaque année. En tant que seul pays au monde qui n'a pas ratifié la Convention des Nations Unies sur les droits de l'enfant, les États-Unis comptent aussi environ 500 000 enfants engagés dans des travaux agricoles.
Le site Internet saoudien Arab News a souligné : « Les États-Unis accusent toujours d'autres pays d'avoir commis des "crimes humanitaires", mais ils refusent eux-mêmes de se regarder dans le miroir ». La diffusion de rumeurs contre d'autres pays avec une « main noire politique » ne saurait dissimuler les mauvaises actions des États-Unis qui permettaient à « l'esclavage moderne » de perdurer.
(Par Xin Yue)
