La police grecque a arrêté quatre personnes soupçonnées de terrorisme samedi, y compris celui qui « correspond à la description » d'un homme que les autorités belges suspectent d'être le cerveau derrière une cellule djihadiste qui a démantelée. Un responsable de la police a dit à l'Associated Press samedi que la police grecque a envoyé à la Belgique des photos, les empreintes digitales et des échantillons d'ADN de l'homme qu'ils croient être Abdelhamid Abaaoud pour les tests.
Ce développement intervient après que deux extrémistes présumés aient été tués et un autre blessé dans une fusillade avec la police jeudi soir dans la ville belge de Verviers. Les autorités sont intervenues sur le groupe afin d'anticiper ce qui risquait d'être selon elles une attaque imminente majeure sur les policiers. La cellule ciblée avait été placé sous surveillance après que les membres soient récemment revenus en Belgique depuis la Syrie, où ils sont soupçonnés d'avoir combattu avec l'État islamique.
Les médias belges ont rapporté que les enquêteurs étaient toujours à la poursuite d'un Belge qui avait combattu avec l'État islamique en Syrie et soupçonné d'être en Grèce. Samedi, les autorités belges ont utilisé des troupes pour renforcer la police dans les villes pour la première fois en 30 ans. Des parachutistes ont été déployés pour garder les cibles possibles d'attaques terroristes dans tout le pays, y compris certains bâtiments du quartier juif de la ville portuaire d'Anvers.
Dans le même temps, le général Mohammed al-Ahmadi, chef du service de sécurité nationale du Yémen, a déclaré que son pays a arrêté deux Français accusés d'appartenir à Al-Qaïda. Toutefois, les autorités n'ont pas mentionné s'ils étaient soupçonnés d'être impliqués ou non dans les attaques terroristes de la semaine dernière à Paris, et des responsables de la sécurité ont dit à l'Associated Press que les arrestations ont eu lieu avant les attentats.
Les dirigeants belges ont déclaré vendredi qu'ils souhaitaient étendre la liste des violations susceptibles d'entrainer un retrait immédiat de la citoyenneté, tandis que la France veut adopter des sanctions rapides et sévères envers les discours haineux. Le Premier ministre britannique David Cameron a récemment suggéré que la police devrait avoir le pouvoir légal de s'introduire dans les communications chiffrées sur les réseaux sociaux des groupes terroristes. Toutes ces décisions ne sont pas sans rappeler l'adoption rapide par les Etats-Unis du très controversé Patriot Act dans la foulée des attentats du 11 septembre 2001.
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