La police turque a dispersé vendredi des manifestants qui demandaient des compensations pour les près de 300 mineurs tués mardi dans l'explosion d'une mine de charbon dans la ville de Soma, dans l'ouest du pays.
Un témoin a expliqué que des heurts avaient eu lieu suite à l'usage par la police de gaz lacrymogènes, de canons à eau et de balles en plastique afin de disperser les manifestants qui scandaient des slogans anti-gouvernementaux à Soma, à quelque 480 km du sud-est d'Istanbul.
De jeunes manifestants en colère ont d'abord marché vers un hôpital de la ville puis ont répondu en lançant des pierres suite à l'intervention de la police anti-émeutes.
L'opérateur de la mine Soma Komur a rejeté les accusations de négligence, expliquant qu'ils avaient tous travaillé très dur et n'avaient pas connu de tel accident en 20 ans.
La catastrophe a déclenché des manifestations contre le gouvernement dans tout le pays au cours des trois derniers jours.La police turque a dispersé vendredi des manifestants qui demandaient des compensations pour les près de 300 mineurs tués mardi dans l'explosion d'une mine de charbon dans la ville de Soma, dans l'ouest du pays.
Un témoin a expliqué que des heurts avaient eu lieu suite à l'usage par la police de gaz lacrymogènes, de canons à eau et de balles en plastique afin de disperser les manifestants qui scandaient des slogans anti-gouvernementaux à Soma, à quelque 480 km du sud-est d'Istanbul.
De jeunes manifestants en colère ont d'abord marché vers un hôpital de la ville puis ont répondu en lançant des pierres suite à l'intervention de la police anti-émeutes.
L'opérateur de la mine Soma Komur a rejeté les accusations de négligence, expliquant qu'ils avaient tous travaillé très dur et n'avaient pas connu de tel accident en 20 ans.
La catastrophe a déclenché des manifestations contre le gouvernement dans tout le pays au cours des trois derniers jours.