Tensions
Les discussions se sont par la suite décalées aux observations disant que le congé annuel de la Fête du Printemps est souvent accompagné par des tensions, les parents demandant à leur progéniture de s'engager dans des relations amoureuses.
Cette histoire a fait écho avec celle de Cheng Li, 32 ans, qui vit à Sydney, en Australie. Elle a indiqué qu'elle a vécu des problèmes similaires avec sa famille.
Quelques jours plus tôt, elle s'était disputée avec sa mère, qui a souligné, "Pour toi, maintenant, la priorité est vraiment de te marier."
Cheng étudie et vit à Sydney depuis 2009 et elle a toujours été seule.
"J'ai vraiment essayé de trouver l'amour vrai depuis que je suis arrivée ici, " a-t-elle confié. " Mais trouver le véritable amour n'est jamais facile et c'est particulièrement difficile lorsque vous résidez à l'étranger. "
Elle n'est pas retournée en Chine pour rendre visite à sa famille au cours de ses deux premières années et demi en Australie, y restant pour travailler pour son diplôme de master. Elle est rentrée chez elle pour la première fois en 2012 après avoir obtenu le titre de résidence permanente en Australie.
" J'ai été submergé de questions sur la façon dont mes relations allaient à l'époque. J'avais 30 ans ", a-t-elle indiqué.
" Pour être honnête, j'ai apprécié ma vie individuelle à Sydney et l'idée de rester célibataire ne m'inquiète pas. Mais cela a été vraiment difficile pour moi de faire face aux attentes de ma famille concernant le mariage pendant la fête du Nouvel An."
Elle a raccroché plusieurs appels téléphoniques de ses parents quand ils insistaient trop fort sur le sujet.
La mère de Cheng en Chine, qui a refusé de donner son nom, a indiqué qu'elle était préoccupée par la question du mariage principalement parce qu'elle veut que sa fille trouve quelqu'un qui partage sa vie avec elle.
"Elle est très solitaire à vivre à l'étranger toutes ces années", a-t-elle expliqué. Mais je n'ose pas beaucoup en parler au téléphone. Je me sens triste parfois, quand je pense à ce sujet, car ce n'est pas une chose pour laquelle je peux être utile. "
En décembre, Cheng est rentrée chez elle pour les vacances de Noël. Elle a confié que quand elle a dit au revoir à ses parents à l'aéroport de Shanghai, elle étreint sa mère et son père séparément .
" Et ils m'ont embrassé avec le même murmure : ramène un petit ami à la maison la prochaine fois."