Flash :

Madagascar : la SADC réclame le retour au pays de Marc Ravalomanana Afrique du Sud : Zuma veut que la loi sur l'information soit davantage justifiée Mali: fin de formation du bataillon « Elou » au camp de Koulikoro Une attaque imputée à Boko Haram fait 3 morts dans le nord-est du Nigeria Le Tadjikistan annonce un calendrier pour les élections présidentielles L'UE accélérera le rythme vers le mécanisme unique de résolution Brahimi qualifie les pourparlers entre les Etats-Unis et la Russie sur la crise syrienne d'"extrêmement importants" Un vice-PM chinois rencontre le président de la Royal Society Le sommet de l'OCS publie une Déclaration conjointe et clarifie la position du bloc sur les dossiers importants La crise des armes chimiques en Syrie peut-elle être résolue ? La crise des armes chimiques en Syrie peut-elle être résolue ? La Chine et l'OIAC s'engagent à renforcer leur coopération dans l'interdiction des armes chimiques La Chine soutient le processus de paix en Syrie Le président chinois quitte Bichkek en direction de la Chine Visite prochaine en Chine du ministre angolais des Affaires étrangères La partie continentale de la Chine et Taiwan envisagent un forum sur la paix La Chine soutient la proposition russe sur le dossier syrien (président Xi) Afghanistan : 5 morts et 23 blessés dans l'attaque du consulat américain à Hérat Célébration du 53e anniversaire de l'accession du Gabon à l'indépendance La langue reste un grand problème pour les ressortissants chinois

Beijing  Brouillard~Ensoleillé  31℃~16℃  City Forecast
Français>>Afrique

Afrique du Sud : Zuma veut que la loi sur l'information soit davantage justifiée

( Xinhua )

14.09.2013 à 10h30

Le président sud-africain Jacob Zuma a déclaré jeudi que la protection de la loi sur l'information doit offrir un système de régulation de la classification, de la reclassification et de la déclassification des informations sensibles du gouvernement cohérent et justifié.

M. Zuma a renvoyé le projet de loi devant l'Assemblée nationale, indiquant que des réserves portant sur certaines clauses de la loi ont entraîné un tollé général, soupçonnées de vouloir museler les dénonciateurs d'actes répréhensibles effectués par le gouvernement.

Le projet de loi a été adopté cette année par le Parlement et a renvoyé à M. Zuma pour obtenir son assentiment et sa signature.

M. Zuma a déclaré à la presse au Parlement qu'il a examiné le projet de loi dans son intégralité ainsi que les différents commentaires et opinions concernant la constitutionnalité de la loi.

"Je pense que dans sa forme actuelle le projet de loi ne satisfera passe pas au critère de constitutionalité".

"A cet égard, j'ai renvoyé le projet de loi devant l'Assemblée nationale pour réexamen car certains articles du projet de loi, notamment les articles 42 et 45, ne sont pas assez clairs et cohérents et sont donc irrationnels et, par conséquent, inconstitutionnels".

L'un des articles traite de la criminalisation de la classification inappropriée des informations d'Etat et prévoit des peines de cinq à 15 ans de prison, en fonction du degré d'erreur dans la qualification.

L'autre article stipule que l'autorisation écrite du responsable du ministère public est requise pour ouvrir une inculpation pour tout crime relevant d'une législation qui prévoit une peine d'emprisonnement de cinq ans ou plus.

M. Zuma a également expliqué l'objectif du projet de loi. Le projet de loi vise à abroger une vieille loi de l'apartheid, la loi sur la protection de l'information de 1982, qui n'est pas conforme à la Constitution, a-t-il expliqué.

Le projet de loi vise également à protéger les informations précieuses relatives aux données personnelles des citoyens tels que les documents d'identité, le permis de conduire, les certificats de naissance et de mariage, les informations sur l'enregistrement des entreprises, entre autres, et à protéger les informations sensibles en lien avec la sécurité nationale.

L'ANC a fait pression pour que soit adoptée la loi sur l'information qui, selon elle, vise à sauvegarder les intérêts nationaux. Mais la presse et les groupes de défense des droits civiques ont soutenu que le projet de loi vise à faire taire ceux qui dénoncent les actes répréhensibles du gouvernement.

En vertu de la loi, toute personne qui divulgue des informations classifiées est passible d'une peine de cinq à 25 ans de prison, selon le degré de classification et s'il s'agit d' espionnage.

En avril, l'ANC a inclus une clause dans la version finale du projet de loi qui protège les dénonciateurs contre les poursuites s'ils ont révélé des informations qui ont été classées pour dissimuler un crime.

Articles recommandés:

Des images de la Samsung Galaxy Gear dévoilées ?

Rétrospective des portables Nokia

Un cousin du piranha pêché dans la Seine

Traversée de la Manche en ballon électrique

Kate Upton en couverture de Vanity Fair

Un diamant de 118 carats exposé aux Etats-Unis

Armadillo-T : le nouveau véhicule sud-coréen qui se replie comme un tautou

Affaire Martin : l'épouse de George Zimmerman demande le divorce

Les premiers rats policiers entraînés à découvrir les suspects aux Pays-Bas

  • Nom d'utilisateur
  • Anonyme

Sélection de la rédaction

Les Articles les plus lus |Sondage

Pages spéciales