Dernière mise à jour à 08h35 le 29/12
A l'occasion de l'organisation jeudi d'une journée porte ouverte sur les acquis du projet "stop-palu", la directrice du projet Dr Aissatou Fofana a révélé que le taux du paludisme a chuté de 45% en 2012 à 15% en 2017 en Guinée.
Ce projet a été conçu pour une durée de cinq ans et est intervenu dans les cinq communes de la capitale Conakry et dans les 28 préfectures les plus touchées par le paludisme.
Cette année, les Etats-Unis ont octroyé un montant total de 28 millions de dollars afin que le projet puisse continuer dans l'intérêt des populations.
Malgré les efforts consentis par le gouvernement guinéen et ces partenaires sanitaires, le paludisme reste encore la première cause de mortalité et de mobilité dans les structures sanitaires du pays et notamment dans les zones rurales, a affirmé Dr Fofana.
Le projet "stop-palu" a permis de distribuer plus de 16 millions de moustiquaires aux familles, plus de 900 milles cas ont été testés et traités, et plus de 1.500 agents ont été formés sur la prévention et la prise en charge du paludisme.
La campagne chimio prévention du paludisme saisonnier, organisée en 2015 et 2016 a permis de protéger plus 450 milles enfants de moins de 5 ans contre le paludisme.
Importation chinoise : une première expo ouverte aux exposants français
Le fret ferroviaire entre l'Europe et la Chine en plein essor
Tencent et JD vont investir 863 millions de Dollars dans Vipshop
Emirates commande 40 Boeing 787 pour 15 milliards de Dollars
Amélioration des transports au Tibet grâce à la construction d'autoroutes
Les exportateurs de bœuf comptent sur la Chine
Geeky rachète Terrafugia, le premier constructeur d'automobile volant
Chine : le gros succès des ventes au détail en ligne
Ceux qui veulent nous rejoindre sur la messagerie WeChat, scannez le code QR ci-contre.
Paiement numérique : les Pékinois, les plus à la page
Le nouvel aéroport international de Beijing en construction
La Chine s’invite à l’Expo universelle d’Astana
Escale inaugurale d'un porte-conteneurs chinois
Des médecins volontaires soignent les Tibétains