Dernière mise à jour à 09h48 le 17/12
Le fait que le président américain Donald Trump continue de blâmer la Chine pour la pandémie de nouveau coronavirus constitue une "perte de temps" et d'énergie, estime Charles Stith, président non exécutif du Centre africain du leadership présidentiel (APLC), une ONG sud-africaine.
Dans une tribune parue lundi dans le quotidien South China Morning Post, il écrit : "Trump a déjà essayé de blâmer la Chine pour la pandémie et le chaos qui s'en est suivi (...) Continuer de le faire est, au mieux, une perte de temps. Au pire, c'est une diversion qui nous empêche de nous attaquer aux questions clés du COVID-19 et de retrouver le chemin d'une reprise économique sérieuse".
"Le fait est que cette crise n'est pas la faute de la Chine", juge le récent auteur de "A View from the Other Side: Locked Down in South Africa" (Une vue de l'autre côté : confiné en Afrique du Sud).
M. Stith relève la rapidité de la Chine à identifier le virus et à partager les informations pertinentes fin décembre, citant aussi une étude dans la revue Journal of Medical Internet Research (JMIR) selon laquelle il y aurait eu des cas d'infection aux Etats-Unis dès décembre 2019, avant même que la Chine n'identifie le virus et n'analyse son génome.
"En travaillant ensemble, le monde peut relever ce défi. En travaillant ensemble, on pourra s'en sortir. Pour y arriver, il faut d'abord et avant tout cesser de blâmer la Chine pour cette pandémie", conclut-il.
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