Dernière mise à jour à 17h01 le 10/05
L'audience virtuelle sur les « atrocités commises contre les Ouïghours et autres minorités ethniques au Xinjiang » organisée le 6 mai par la commission des affaires étrangères de la Chambre des représentants des États-Unis a été en contraste frappant avec l'événement virtuel « Quel bel endroit que le Xinjiang », organisé conjointement le même jour par l'ambassade de Chine aux États-Unis et le gouvernement de la région autonome ouïghoure du Xinjiang.
Comme prévu, les personnes invitées à prendre la parole à la réunion de la commission des affaires étrangères étaient soit des sécessionnistes ouïghours, soit des soi-disant « survivants » du Xinjiang que Washington paie pour répandre des rumeurs, soit des « experts » tristement célèbres pour leurs préjugés idéologiques. L'audience du comité n'était rien d'autre qu'un effort délibéré pour affirmer une présomption de culpabilité et s'ingérer de manière flagrante dans les affaires intérieures de la Chine.

Des agriculteurs récoltent des grenades dans le comté de Pishan, à Hotan, dans la région autonome ouïghoure du Xinjiang (nord-ouest de la Chine), le 8 octobre 2020. (Photo / Xinhua)
Lors de l'autre réunion virtuelle, les habitants et les responsables du Xinjiang ont parlé aux participants américains de la réalité au Xinjiang. La région autonome abrite des dizaines de groupes ethniques qui croient en différentes religions et vivent ensemble en harmonie, et leurs moyens de subsistance se sont continuellement améliorés ces dernières années grâce aux politiques favorables à la stabilité et au développement du gouvernement.
La plupart des sénateurs américains et leurs assistants que l'ambassade de Chine avait invités, qui prétendent souvent se soucier des droits de l'homme au Xinjiang, n'ont pas participé à l'événement, car ils savent que leurs connaissances sur le Xinjiang ne peuvent pas résister à l'épreuve des faits, et ils n'osent tout simplement pas faire face à la vérité.
Le fait est que le Xinjiang n'a connu aucune attaque violente et terroriste depuis plus de quatre ans et, de 2014 à 2019, l'économie de la région a enregistré une croissance de 7,2% en moyenne chaque année, le revenu disponible des résidents locaux augmentant de 9,1% par an. L'année dernière, le produit intérieur brut du Xinjiang a augmenté de 3,4%, soit 1,1 point de pourcentage de plus que la moyenne nationale.
Plus de 1 200 diplomates, journalistes et chefs religieux de plus de 100 pays se sont rendus au Xinjiang ces dernières années. Mais ceux qui tiennent fermement à leurs mensonges sur le Xinjiang refusent tout simplement de s'y rendre pour en avoir une connaissance de première main.
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