Dernière mise à jour à 13h32 le 26/09
Les forces anti-Chine salissent la région autonome ouïgoure du Xinjiang, diabolisent la Chine et dénigrent la gouvernance chinoise de la région avec leurs accusations de "génocide", selon un livre blanc publié dimanche.
Ces dernières années, diverses forces anti-Chine ont accusé le pays d'actions telles que le "travail forcé", les "stérilisations obligatoires", la "séparation des parents et enfants", le "génocide culturel" et la "persécution religieuse", indique le livre blanc publié par le Bureau de l'information du Conseil des Affaires d'Etat.
Selon le document, la Convention pour la prévention et la répression du crime de génocide, adoptée par l'Assemblée générale des Nations unies en 1948, fournit une définition claire du génocide, à savoir des actes commis avec l'intention de détruire, intégralement ou en partie, un groupe national, ethnique, racial ou religieux. Un pays ne peut être condamné pour génocide que par une institution judiciaire internationale compétente ayant une juridiction appropriée, dans le strict respect des exigences et des procédures stipulées par les conventions concernées et le droit international.
Le gouvernement chinois protège les droits des Ouïgours et de tous les autres groupes ethniques minoritaires du Xinjiang conformément à la loi. "Cela contraste fortement avec les fabrications des forces anti-Chine", d'après le livre blanc intitulé "La dynamique et les données de la population du Xinjiang".